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Channel: L'actu de Françoise Lecoufle dans le Val-de-Marne | Citoyens.com
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Les nouveaux rythmes scolaires se précisent, difficilement, dans le Val de Marne

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Rythmes ScolairesCe vendredi 6 juin, les villes qui n’auront pas indiqué comment elles comptent mettre en oeuvre les nouveaux rythmes scolaires (sur 9 demi-journées) se verront imposer un emploi du temps. A quelques jours de l’échéance, les annonces se succèdent donc pour poser ses conditions.

Quelques villes restent néanmoins rebelles, comme à Limeil-Brévannes où la maire UMP Françoise Lecoufle a indiqué qu’elle n’appliquerait pas le décret ou à L’Haÿ-les-Roses où Vincent Jeanbrun, également nouveau maire UMP,  annonce qu’il compte l’attaquer en justice. L’association départementale des maires communistes prévoit pour sa part d’annoncer sa position ce vendredi 6 juin, le jour J.

Dans certaines communes, la question ne fait pas l’unanimité. A Vitry-sur-Seine, le sujet a créé un clash en plein Conseil municipal. Au Kremlin-Bicêtre, c’est une école, Charles Péguy, qui était occupée symboliquement ce mardi soir par les parents d’élèves pour protester contre la proposition horaire de la ville qui propose une pause déjeuner trop longue. Pour marquer le coup, les parents avaient même invité la chronobiologiste Claire Leconte pour débattre. « La mairie prévoit de faire déjeuner des enfants après 13h30, la collation serait réintroduite et le temps du soutien scolaire (APC) se ferait à partir de 12h00. Cela nous parait impensable de faire déjeuner les enfants à 13h30″, dénonce Gilles Valet, de la FCPE.

Dans ce dernier round d’un sujet qui a fortement mobilisé élus, syndicats enseignants et fédérations de parents d’élèves, une manifestation est organisée ce mercredi 4 juin en début d’après-midi devant l’Inspection académique de Créteil. Une grève est également envisagée le 19 juin, date du CDEN qui actera de tous les calendriers de mise en oeuvre en septembre 2014. Le temps sera ensuite à l’organisation effective de la rentrée, avec mercredi ou samedi travaillé.

Rythmes scolaires : rappel du contexte
Publié en janvier 2013, le décret du ministre de l’Education nationale Vincent Peillon (voir le détail du décret, sa genèse et les comparaisons avec les autres pays) prévoyait le retour à une semaine de 5 jours (mercredi ou samedi travaillé) en septembre 2013 ou en septembre 2014, selon le choix des communes. En 2013, aucune ville du Val de Marne n’a souhaité franchir le pas dès la rentrée 2013.  Dans son discours de politique générale, le nouveau Premier ministre Manuel Valls a annoncé un assouplissement du décret. Ce décret a été publié le jeudi 8 mai. Il permet notamment de regrouper les activités périscolaires de la ville sur une seule demi-journée ou bien de réduire les semaines de cours en rattrapant sur les vacances d’été, à condition de conserver un minimum de huit demi-journées de cours par semaine dont cinq matinées.Les villes ont officiellement jusqu’au vendredi 6 juin pour pour déposer leur projet faute de quoi le préfet pourrait imposer l’organisation correspondant à celle initiale du décret de Vincent Peillon, à savoir une réduction quotidienne de 3/4 d’heures en contrepartie d’une matinée d’école le mercredi matin. Le CDEN (Conseil départemental de l’Education nationale) qui actera définitivement de l’organisation des rythmes scolaires dans le Val de Marne à la rentrée 2014 se tiendra ensuite le jeudi 19 juin (Voir tous les articles sur ce sujet)

Nom de rue de femme contre nom de rue de femme: polémique à Limeil

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Pole Pasteur LimeilLes futures rues du pôle Pasteur de Limeil-Brévannes doivent-elles s’appeler Olympe-de-Gouges, auteur de la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, militante de l’abolition de l’esclavage, Danielle-Mitterrand et Germaine-Tillion, figures de la résistance lors de la seconde guerre mondiale et, pour Danielle Mitterrand, épouse d’un président de la République,  ou plutôt Julie-Victoire Daubié, première femme acceptée à se présenter au baccalauréat, Louise du Pierry, première femme professeur à la Sorbonne et Madeleine Brès,  première femme à obtenir le diplôme de docteur en médecine?

Alors que ces rues n’existent pas encore et que l’ancienne municipalité les avaient baptisées des trois premiers noms cités,  la nouvelle maire UMP de la ville, Françoise Lecoufle a proposé de les changer au profit des trois noms de femmes cités ensuite « pionnières dans le domaine de leurs études. » Une décision qui a provoqué la colère d’un habitant, extérieur au Conseil municipal, provoquant une suspension de séance.

Du côté des élus d’opposition de gauche, cette décision est inadmissible et chacun a fait part de son indignation, citant les symboles de résistance incarnés par les femmes qui avaient été choisies. « Ce travail de sape  idéologique nauséabonde mené conjointement par l’UMP et le FN est inquiétant pour tous les habitants de notre ville« , commente le PRG dans un communiqué tandis que  le Front de Gauche dénonce un « choix intolérable et honteux. » De son côté, la maire a défendu son choix par souci de cohérence en raison de la proximité de ce quartier avec des écoles, ajoutant qu’il y a déjà des rues  au nom de résistants à Limeil, citant la rue Pierre et Angèle Le Hen, et annonçant un projet de monument aux morts dédié à la guerre 14-18 au sein du cimetière.

Voir cet échange lors du Conseil municipal sur sa retransmission vidéo réalisée par la ville, au temps 1h42.



Travaux du pont de Villeneuve: des élus s’inquiètent pour la circulation

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Deviation Pont de VilleneuveAprès des premiers travaux d’urgence fin 2012 en raison de l’effondrement d’une rame d’accès, le pont de Villeneuve fera l’objet d’une réfection complète qui doit durer six mois à partir du 1er juillet.  La circulation s’y effectuera en sens unique jusqu’au 15 décembre 2014.

Cette nouvelle phase de travaux comprend en effet la reconstruction complète du tablier du pont et la reconstitution des têtes de poutre qui le supportent. Concrètement, le sens de circulation de Villeneuve-le-Roi à Villeneuve-Saint-Georges sera maintenu et des itinéraires de déviation seront mis en place pour les véhicules souhaitant traverser la Seine d’Est en Ouest.

Cette mise en sens unique inquiète certains élus riverains, étant donné le peu de ponts permettant de franchir la Seine en cet endroit.  Seuls  six ouvrages, dont l’un après la confluence de la Marne, permettent de relier les deux rives en voiture. Depuis le pont de Villeneuve (RD136), il faut ainsi remonter 6km  jusqu’au pont de Choisy (RD 86) ou redescendre 7,5 km jusqu’au pont de la Première armée française de Draveil (D931 Essonne) pour franchir à nouveau le fleuve.

C’est dans ce contexte que 13  maires du Sud Val-de-Marne et de l’Essonne* viennent d’écrire au président du Conseil général du Val-de-Marne, à l’initiative des travaux, pour lui demander « d’étudier toutes les options de nature à réduire la période de fermeture du pont, en particulier la possibilité d’effectuer les travaux la nuit ». Ils réclament également la construction d’un pont supplémentaire pour franchir la Seine. Une pétition avait du reste été lancée en ce sens par Didier Gonzales, le maire UMP de Villeneuve-le-Roi, fin décembre 2012, tandis que le conseiller général MRC Daniel Guérin plaidait pour l’interdiction de passage des camions de plus de 7,5 tonnes.

De son côté, le Conseil général rappelle qu’un plan de déviation a été mis à disposition et qu’en passant par les voies rapides (A86 notamment), le temps de parcours supplémentaire est de l’ordre de 15 minutes. (Voir plan de déviation ci-dessous ou le télécharger en format PDF)

Deviation Pont de Villeneuve

* Didier Gonzales (maire de Villeneuv-ele- Roi), Georges Tron (maire de Draveil), Nicolas Dupont-aignan (député-maire de Yerres), Eric Grillon (maire d’Ablon-sur-seine), Michaël Damiati (maire de Crosne), François Durovray (maire de Montgeron), Bruno Gallier (maire de Brunoy), Gérard Guille (maire de Villecresnes), Françoise Lecoufle (maire de Limeil-Brévannes), Serge Poinsot (maire de Vigneux-sur-Seine), Robin Reda (maire de Juvisy-sur-Orge), Christine RODIER (maire d’Athis-Mons), Alain Védère (maire de Paray-Vieille-Poste).

Rythmes scolaires en Val de Marne: le point sur les 15 villes en suspens

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hommes pressés32 projets de mise en place des nouveaux rythmes scolaires ont pour l’instant été validés sur les 47 villes du Val de Marne. Ce jeudi 3 juillet, un nouveau Conseil départemental de l’Education nationale (Cden) pourrait acter les derniers calendriers. Les villes réfractaires ou celles qui avaient vu leur proposition retoquée par  avaient officiellement jusqu’au 26 juin pour corriger leur copie. Point d’étape sur la situation dans les 15 communes encore en suspens.

Pour rappel, les villes qui n’ont pas fait de proposition devront en principe appliquer le cadre départemental type fixé par la direction départementale académique et qui est le suivant : 9h-16h15 avec une pause méridienne de 12h à 14h et classe le mercredi de 9h à 12h.

Les trois villes qui avaient proposé des emplois du temps refusés par l’Education nationale car ils prévoyaient un horaire différent d’une semaine sur l’autre (par exemple 1 samedi travaillé sur 3), ont rendu une nouvelle copie. Il s’agit de Chennevières, Ivry et Saint-Maur. Les autres n’ont toujours pas rendu de proposition même si la plupart se résignent à appliquer le cadre départemental type qui leur sera imposé. Limeil-Brévannes et Sucy-en-Brie maintiennent pour leur part une position plus radicale, qui indiquent qu’elles n’ouvriront pas les portes des écoles ni le mercredi ni le samedi. (voir le détail par ville ci-dessous)

Une situation mouvante

D’ici au CDEN de ce jeudi 3 juillet, la situation peut toutefois encore évoluer. « Lors du Cden du 19 juin, le document qui nous avait été soumis quelques jours avant faisait état de 24 villes et ce-sont 32 calendriers qui ont été présentés en séance. Cette semaine, nous n’avons encore rien reçu concernant les organisations de nouveaux rythmes scolaires, alors qu’en principe tout doit être envoyé 7 jours avant la réunion, commente Luc Bénizeau, délégué syndical Snudi-Fo. Et lorsque, aujourd’hui, à l’occasion d’un groupe de travail de la Capd (commission académique paritaire départementale), j’ai demandé à la Direction départementale des services de l’Education nationale pourquoi nous n’avions rien reçu,  il m’ a été répondu que les tractations n’étaient pas terminées. »

Le point dans les 15 villes en suspens

Ci-dessous, en date du 2 juillet, la situation dans les quinze villes dont les calendriers n’ont pas déjà été officiellement validés par l’Education nationale.

Voir aussi le détail des villes dont les emplois du temps ont déjà été validés.

Ablon-sur-Seine : refus d’appliquer «Nous n’avons pas formulé de proposition alternative et restons opposés à la réforme dans son cadre actuel. Nous attendons les décisions de l’Education nationale à l’issue du CDEN du 3 juillet et communiquerons ensuite aux familles si un nouvel horaire nous est imposé, afin de leur permettre de s’organiser», précise le maire de la ville, Eric Grillon.
Chennevières-sur-Marne : Après avoir vu un premier projet retoqué par l’Inspection (car il prévoyait des horaires différents d’une semaine sur l’autre), la ville a organisé une consultation des Conseils d’école sur de nouvelles propositions. Les résultats de cette consultation étant très serrés, la ville a demandé à l’Inspection académique de trancher (voir article détaillé).
Gentilly : pas de proposition alternative
Ivry-sur-Seine : Après avoir vu un premier projet retoqué par l’Inspection  (horaires différents d’une semaine sur l’autre), la commune a proposé la formule 8h45-16h avec pause de 12h à 14h, soit 3h15 le matin et 2h l’après-midi, et classe le samedi matin de 8h45 à 11h45. La proposition est en cours de validation par l’Inspection académique avant présentation au Cden du 3 juillet. De son côté, la conseillère d’opposition PS Sandrine Bernard a écrit à l’inspection pour rappeler que 88% de parents consultés s’étaient exprimés en faveur du mercredi et demander à ce que ce soit le mercredi matin qui soit retenu comme jour de classe.
L’Haÿ-les-Roses : hostile à la réforme, la ville indique qu’elle appliquera malgré tout le cadre départemental type, s’il lui est imposé, et s’organisera à la rentrée pour proposer des animations durant la pause méridienne et un accueil périscolaire. «Nous avons prévu de renforcer les effectifs d’encadrement qui passeront de 1 adulte pour 20 enfants au lieu de 30 enfants actuellement en élémentaire et un adulte pour 11 enfants au lieu des 14 prévus légalement en maternelle», précise-t-on à la mairie. Par ailleurs, le Conseil municipal du 26 juin a réaffirmé l’opposition de la ville au décret et autorisé le maire à ester en justice pour réclamer des moyens budgétaires afin de mettre en place la réforme.
Limeil-Brévannes : pas question de mettre les nouveaux rythmes en œuvre pour l’instant. La maire,Françoise Lecoufle, vient du reste de publier un nouveau communiqué ce mardi 1er juillet pour réaffirmer sa position. «Il revient au maire de décider ou non de mettre à disposition les locaux nécessaires. Dès lors, malgré des pressions incessantes exercées par l’Education nationale et les services de l’Etat, nous n’autoriserons l’ouverture des écoles ni le mercredi, ni le samedi», prévient l’élue. «De nouveaux rendez-vous ont déjà été pris avec l’Education nationale, au-delà du Cden», indique-t-on également en mairie.
Maisons-Alfort : pas de proposition alternative non plus du côté de Maisons-Alfort. «C’est à l’Etat de prendre ses responsabilités et de notifier les emplois du temps à ses enseignants. Les communes ne sont pas légitimes pour imposer un cadre de travail aux enseignants», motive Olivier Capitanio, premier adjoint au maire.
Noiseau : pas de proposition alternative.
Saint-Maur-des-Fossés : Après avoir vu un premier projet retoqué par l’Inspection (horaires différents d’une semaine sur l’autre), la ville a proposé une nouvelle organisation avec école le samedi matin et en attend la validation. Le nouveau schéma a suscité des réactions de mécontentement de l’opposition PS et de la Fcpe (Voir article détaillé)
Santeny : La ville appliquera les horaires imposés. «Nous appliquerons le cadre type sans proposer d’activités périscolaires supplémentaires jusqu’à la Toussaint, et réfléchirons durant cette période à ce que nous pourrons mettre en place», détaille le maire, Jean-Claude Gendronneau.
Sucy-en-Brie : Avec Limeil, Sucy reste décidée à ne pas ouvrir ses écoles le mercredi. «Nous maintenons notre position de non-application pour éviter la précipitation. Nous allons relancer la concertation avec l’hypothèse du samedi matin», précise-t-on au cabinet du maire.
Villecresnes : hostile à la réforme, le nouveau maire, Gérard Guille, indique qu’il appliquera le cadre type départemental si celui-ci lui est imposé. «Je ne peux pas me mettre hors la loi», explique-t-il.
Villejuif : la ville appliquera le cadre type départemental s’il lui est imposé mais n’a pas fait de proposition alternative et souhaite laisser à l’Education nationale la responsabilité de nouveaux horaires.
Villeneuve-le-Roi : pas  de proposition alternative.
Villeneuve-Saint-Georges : la ville appliquera le cadre type départemental imposé.

Rythmes scolaires : Sucy et Limeil appliqueront-ils la réforme?

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Temps-Rythmes-scolaires-©-pict-rider-Fotolia.comEn principe, toutes les écoles publiques du Val de Marne reviendront à la semaine de 5 jours à partir de la rentrée, et l’ensemble des emplois du temps ont été validés en ce sens lors du Cden (Conseil départemental de l’Education nationale) du 3 juillet. 

(Voir le détail par ville) La quasi-totalité des 47 maires du département, même les plus récalcitrants au projet, en ont pris acte, parfois en rappelant leur désaccord sur le principe. Deux villes restent néanmoins en suspens : Limeil-Brévannes et Sucy-en-Brie. Dès juillet, les maires UMP des deux communes, Françoise Lecoufle et Marie-Carole Ciuntu, faisaient respectivement savoir qu’elles n’ouvriraient pas leurs écoles le mercredi ni le samedi et la demande de report figure toujours à la une du site de Sucy.

S’il s’agit des deux seules communes frondeuses dans le département, l’Essonne voisine compte pour sa part une trentaine de maires décidés à ne pas appliquer la réforme, à commencer par le député-maire DLR de Yerres Nicolas Dupont-Aignan.

Fronde : écoles fermées mais centres de loisirs ouverts à Limeil et Sucy ce mercredi

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Ecole Jean Louis Marqueze Limeil Brevannes credit ville Limeil BrevannesLimeil-Brévannes et Sucy-en-Brie n’ouvriront pas leurs écoles primaires ce mercredi 3 septembre, en signe de protestation contre la réforme des rythmes scolaires. Dans les deux communes, les centres de loisirs ouvriront en revanche dès le matin.

Par ailleurs, les maires UMP des deux communes, Françoise Lecoufle à Limeil et Marie-Carole Ciuntu à Sucy, ont appelé à manifester aux côtés d’autres élus comme le maire de Villeneuve-le-Roi Didier Gonzales, et de parents, devant la préfecture de Créteil à 10 heures du matin.

C’est la préfecture, chargée de faire respecter les décisions de l’Etat, qui aura pour mission d’obtenir l’ouverture des écoles comme l’a rappelé la ministre de l’Education nationale, Najat Vallaud-Belkacem, mais cette action ne peut se faire qu’après avoir constaté la carence des villes.

Limeil-Brévannes solde ses comptes avec l’ancienne majorité

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Mairie Limeil BrevannesAu-delà de l’hostilité aux nouveaux rythmes scolaires, le refus de Limeil-Brévannes d’ouvrir ses écoles ce mercredi 3 septembre s’inscrit dans le contexte plus local de prise de marques de la nouvelle majorité municipale et de distanciation avec l’ancienne.

En mars 2014, Françoise Lecoufle (UMP) a remporté l’élection dès le premier tour contre l’ancienne équipe (divisée entre PS et Front de Gauche suite au départ de l’ancien maire Joseph Rossignol), et le Front National. Parmi les principaux dossiers au coeur de la campagne: la digestion par la ville des grands programmes de logements qui ont conduit à une forte augmentation de sa population. Entre 2013 et 2014, c’est la commune du département qui a connu la plus forte progression avec 762 personnes de plus sur 20 663 habitants, représentant une hausse de 3,83% sur une seule année. Sur 5 ans, la progression de l’ordre de 9% est également l’une des plus importantes du Val de Marne.  Une transformation qui impacte le fonctionnement de la commune et notamment des écoles.  « Limeil-Brévannes a du ouvrir sept nouvelles classes en cette rentrée et nous estimons qu’il nous faudra encore en ouvrir 15 supplémentaires dans les deux années qui viennent en prenant en compte de nouveaux projets comme l’aménagement du pôle Pasteur. Il va nous falloir construire une nouvelle école mais nous n’avons pas encore de foncier pour ce faire« , explique-t-on au cabinet de la maire. « Autant dire que l’ouverture le mercredi n’est pas une priorité. Nous souhaitons d’abord nous assurer de la mise à disposition des salles de classes dans les meilleures conditions et avons besoin du mercredi pour achever les travaux qui ont déjà duré tout l’été. »

Dans ce contexte, la fermeture des écoles ce mercredi, en contrepartie d’une ouverture toute la journée du centre de loisirs, vise en partie à attirer l’attention sur la situation. Il s’agit aussi de solder ses comptes avec l’ancienne majorité. L’ordre du jour de la réunion publique organisée le 16 septembre (à 20 heures à la Boite à clous) entre la maire et les habitants est du reste sans équivoque, dont le premier point concerne « la facture Rossignol« , nom de l’ancien édile. En ligne de mire notamment: les programmes de logement sans suffisamment d’équipements publics en face, et, au niveau financier, le lancement de la procédure de liquidation de la société d’économie mixte (Sem) ALB avant les élections « dont le déficit de 11,7 millions d’euros a du être réintégré dans les comptes de la ville, ce qui va bloquer la capacité d’investissement sur la durée du mandat« , précise-t-on au cabinet de la maire.

L’ancien maire réagit

Joseph RossignolDe quoi agacer sérieusement le premier visé, l’ancien maire Joseph Rossignol, qui se partage désormais entre la région lyonnaise et le département, étant toujours vice-président du Conseil général. « C’est vraiment une réécriture de l’histoire pour masquer l’incompétence. J’ai l’impression d’avoir laissé les clefs d’une voiture de course à une équipe peinant à conduire une 2 CV. Concernant les écoles, nous avons largement anticipé. La moitié des 14 écoles de la ville ont moins de cinq ans, ce qui est assez rare, et des classes
supplémentaires y ont été prévues.

Groupe Scolaire Pasteur Credit RK2 Architectes

Groupe scolaire Pasteur


Le groupe scolaire Pasteur (ndlr : livré en septembre 2012) a été ainsi conçu pour accueillir 10 classes de plus. C’est ensuite à la mairie de gérer sa carte scolaire  pour adapter au mieux l’affectation des élèves aux écoles. Pour ce qui est des finances, la société d’économie mixte était à l’équilibre quand j’ai proposé de la dissoudre et j’ai souhaité engager cette procédure afin justement de mettre à disposition des comptes précis. Il faut tout compter et prendre en considération les logements qui restent à vendre ou les locaux à récupérer comme ceux qui ont été mis à disposition de l’Ap-hp avant de préjuger d’un tel déficit! »
, réagit l’ancien élu. (Voir le procès verbal du Conseil municipal de février où a été proposé la dissolution de la Sem ALB, dont il était de même fait état qu’elle présentait une structure d’exploitation déficitaire)

 

Rythmes scolaires: Limeil ouvrira ses écoles le mercredi

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Ecole Jean Louis Marqueze Limeil Brevannes credit ville Limeil BrevannesAprès avoir fermé ses écoles ce mercredi 5 septembre en signe de protestation contre la réforme des rythmes scolaires, Limeil-Brévannes ouvrira finalement le mercredi. La commune avait été assignée en justice par la préfecture

suite à la fermeture des écoles ce mercredi et la maire UMP de la ville, Françoise Lecoufle, a pris acte du refus de l’Education nationale d’accéder à sa demande de dérogation.  »L’état n’a rien voulu lâcher ! », regrette l’élue dans un message aux parents. Les cours auront donc lieu de 9h à midi puis de 14h à 16h15 les lundi, mardi, jeudi et vendredi, et le mercredi de 9h à 12h. En conséquence, explique la maire, le temps d’accueil du matin (hors mercredi) s’effectuera de 7h30 à 9h00 au lieu de 7h30 à 8h30. « Ces services restent payants. Leur coût s’en trouvera augmenté« , prévient l’élue. La maire rappelle également que la ville n’a pas les moyens de mettre en place un système d’activités péri-scolaires le mercredi : »Il n’y aura donc ni pedibus, ni temps d’accueil avant la classe, ni restauration.«   Voir le communiqué complet.

Suite à cette première semaine de rentrée, une réunion s’est tenue avec des parents d’élève le vendredi 5 septembre au soir, lors de laquelle ont été évoquées plusieurs pistes d’assouplissement comme un possible retour à l’école à 8h30 le matin, ce qui éviterait aux parents d’avoir à payer un supplément entre 8h30 et 9h. Cet assouplissement pourrait être discuté avec l’Education nationale d’ici les vacances de la Toussaint.

La maire de la ville a également indiqué qu’un service de cantine se tiendrait le mercredi pour les élèves allant au centre de loisirs. Concernant l’accueil entre 7h30 et 9h le mercredi, les choses pourraient aussi évoluer à l’avenir. Un point essentiel selon l’association de parents d’élèves indépendante du GIPE.

Reste également la question des NAP (Nouvelles activités périscolaires) que la ville n’entend pas mettre en place dans les deux ans qui viennent, faute de moyens. « La réforme n’a aucun intérêt pour les enfants si les NAP ne sont pas mises en place », regrette le Gipe qui rappelle que la dépense prévue pour mettre en place les rythmes scolaires avec les NAP lors des réunions sur ce sujet en début d’année se situait entre 450 000 € et 600 000 € et que l’on peut déduire de cette somme 160 000 € d’aide de l’Etat et 160 000 € d’aide de la Caisse d’allocations familiales.

De son côté, le Front de Gauche a dénoncé dans un communiqué la fermeture de l’école le premier mercredi de la rentrée comme étant inadmissible.

 


Réunion publique à Limeil: la guerre est déclarée avec l’ex-maire

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Confrontation - 7venPas question en effet de faire la paix avec l’ancienne majorité à Limeil-Brévannes. La réunion qu’organise la nouvelle maire UMP, Françoise Lecoufle, avec les habitants, ce mardi 16 septembre à 20 heures à la Boite à clous, s’est fixée un ordre du jour offensif.

Le principal sujet y sera en effet la « facture Rossignol »du nom de l’ancien édile, que la nouvelle élue a chiffré à 45 millions d’euros. Ainsi est titrée du reste la lettre du maire publiée pour l’occasion, qui sous-titre « Comment les mauvais choix de l’ancien maire ont conduit la ville à la faillite« . Précisément, le document additionne 3,6 millions € liés au projet de réseau fibre optique indépendant, 5 millions € de « cadeaux faits au promoteurs« , 0,5 million € « d’arrangements électoralistes« , 20,5 millions € de sus-investissement en équipement, 6 millions € de « gestion chaotique » et encore 9 millions € liés au solde déficitaire de la société d’économie mixte Semalb. Voir article précédent avec la réaction de Joseph Rossignol, qui avait parlé  de « réécriture de l’histoire pour masquer l’incompétence ». Voir la lettre de la maire.

Les autres sujets à l’ordre du jour de la réunion sont le bilan des 6 premiers mois de mandat et le lancement des conseils de quartier.

Limeil-Brévannes renonce à son pôle culturel

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Pole Culturel Limeil BrevannesComme annoncé par la nouvelle maire UMP de Limeil-Brévannes, Françoise Lecoufle, le projet de pôle culturel qui devait accueillir une médiathèque et le conservatoire de musique de la ville ne devrait pas voir le jour dans l’immédiat.

La commune, qui tient ce lundi 29 septembre son Conseil municipal (retransmis en direct sur Internet), devrait voter la demande à la communauté d’agglomération Plaine centrale de surseoir à l’exécution du projet dont la construction devait commencer cette année. D’un budget total de 9 millions d’euros pris en charge par la communauté d’agglo, et dont 3 millions d’euros étaient budgétés cette année, ce pôle devait s’installer dans le secteur Pasteur, à l’angle des rues Marius Dantz et de l’avenue Verdun. Il devait accueillir notamment une salle de spectacle à gradins repliables de 200 m2, une médiathèque et des salles de conservatoire réparties sur trois niveaux dont plusieurs pièces insonorisées et semi-enterrées pour les groupes de rock et autre musique amplifiée.

Dans le bulletin municipal de juin, la nouvelle municipalité avait indiqué que ce pôle culturel « n’était pas prioritaire aux yeux des Brévannais, d’autant qu’il implique la destruction d’un des derniers espaces verts du quartier » et de préciser que des discussions étaient en cours « pour réorienter l’apport financier vers des projets plus utiles à la ville et ses habitants. » Pole Culturel Limeil Brevannes interieur mediathequeUne position regrettée par l’opposition dans une tribune publiée par le président du groupe PS Raymond Cathala dès mai 2014 :  » Ce projet est entièrement financé par la Communauté d’agglomération. Se priver de cet outil culturel qui n’augmentera en rien les impôts des Brévannais est une aberration d’autant que cette proposition d’investissement risque bien de ne pas se reproduire si la clause de compétence générale était supprimée dans le cadre de la nouvelle réforme des collectivités territoriales. » Ce lundi 29 septembre officialisera la demande.

Parmi les autres sujets à l’ordre du jour : le déplacement du relais d’assistantes maternelles (Ram) dans le bâtiment Paul Barthez et la création de quatre salles de classes  au sein du  local actuellement occupé par le Ram rue Emile Zola, la création et conception d’un jardin à l’hôpital Emile Roux, la requalification de la rue de Paris, l’extinction de la convention de portage foncier entre le SAF 94, la ville et la SEM ALB… Télécharger l’ordre du jour complet.

Limeil-Brévannes demande l’expulsion de son bidonville de Roms

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Bidonville Roms LimeilAlors qu’une cinquantaine de Roms se sont installés dans le quartier des Temps durables de Limeil-Brévannes depuis fin septembre, la maire UMP, Françoise Lecoufle, demande au préfet de procéder à leur expulsion, s’inquiétant de la volonté des riverains de s’organiser entre eux pour effectuer des « rondes de surveillance », 

excédés par les dépôts sauvages de déchets, feux ou raccordements illicites sur les arrivées d’eau des résidences.

« La procédure de démantèlement a été lancée dès le premier jour », indique l’édile, « avec rédaction d’un arrêté de mise en demeure de quitter les lieux, notification de cet arrêté aux occupants et transmission de cet arrêté au Préfet du Val-de-Marne« . L’élue, qui demande au préfet d’intervenir, annonce avoir renforcé les patrouilles de la police municipale dans le quartier.

Départementales Villeneuve-St-Georges: l’UMP investit une élue de la liste DVD-FN

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Krystell NiasmeAlors que l’UMP Val de Marne discutait ce mercredi 10 décembre au soir des candidatures aux élections départementales de 2015, l’investiture à Villeneuve-Saint-Georges Choisy-le-Roi de Kristell Niasme, numéro deux sur la liste du candidat divers droite Philippe Gaudin, allié au Front National Dominique Joly, 3e de liste, au second tour des élections municipales de 2014, a suscité le débat et certaines réticences.

A commencer par celle de son binôme homme, Tonino Panetta, ex-candidat aux municipales de Choisy, qui a refusé catégoriquement l’investiture dans ces conditions. « Il est hors de question que je fricote de près ou de loin avec le Front National« , indique le Choisyen.

Pour Kristell Niasme, l’alliance avec le FN aux municipales et les élections départementales sont deux sujets distincts. « Nous n’avons rien à voir avec le FN et je n’ai jamais été au FN. NousKrystell Niasme représentons la droite départementale. Le FN présentera ses propres candidats. L’alliance avec le FN était opportune aux élections municipales mais c’était à un instant T. Nous ne siégeons pas du reste dans le même groupe au Conseil municipal. Aux élections départementales, c’est nous qui affronterons le FN au second tour. Et si tel n’était pas le cas, nous n’appellerons pas à voter pour le FN. Aujourd’hui, l’UMP m’a donné son investiture pour continuer le travail de fond que nous avons engagé sur le terrain. Le parti a compris malgré tout les choix que nous avons faits aux municipales« , défend Kristell Niasme.

Christian Cambon« Krystell Niasme a compris que la solution du Front National ne débouchait sur rien. Elle a rejoint l’UMP et est prête à se lancer dans ce combat des élections. Si nous considérons que les gens qui ont voté FN sont des renégats pour toujours, nous finirons par avoir 60% de vote FN aux élections. Nous ne pouvons pas fermer la porte aux personnes qui souhaitent rejoindre notre parti républicain. Le vrai problème de Villeneuve-Saint-Georges est la désespérance de la population. Lors de ce scrutin, nous mènerons un combat emblématique à la fois contre le FN et contre la gauche« , défend pour sa part Christian Cambon, président de l’UMP Val de Marne, rappelant au passage que les fusions sont interdites aux élections départementales.

Metin Yavuz et Françoise Lecoufle à Villeneuve-Limeil

Concernant le canton de Villeneuve-Saint-Georges Limeil-Brévannes, le binôme devrait être composé de Françoise Lecoufle, élue maire UMP de Limeil-Brévannes en mars, et de Metin Yavuz, ex-candidat sans étiquette (ex PS) soutenu par l’UMP et l’UDI aux municipales 2014 à Valenton (qui a réalisé près de 43% contre la PCF Françoise Baud). Condamné à l’inéligibilité pour son mandat municipal (ce qui ne l’empêche pas de se présenter à un autre scrutin) pour n’avoir pas rendu ses comptes de campagne, ce qu’il conteste, il a fait appel au Conseil d’Etat. Cet appel a suspendu son inéligibilité municipale en l’attente de la décision du Conseil d’Etat. L’investiture ne serait toutefois pas arrêtée entre Metin Yavuz, Eric Colson, ex-allié de Philippe Gaudin qui avait claqué la porte au moment de l’alliance avec le FN et Emmanuelly Gougougnan, également sur la liste de second tour DVD-FN à Villeneuve-Saint-Georges en 11e position.

Dans le cadre des accords départementaux, l’UMP doit désormais discuter avec l’UDI de ses investitures dans le cadre d’une réunion prévue lundi matin, avant de les valider définitivement.

A gauche, rien n’est acté pour l’instant concernant les alliances éventuelles non plus que les possibles candidatures en solo.

Recours au Conseil d’Etat contre les municipales

A noter également, concernant la situation politique à Villeneuve-Saint-Georges, que  Philippe Gaudin (DVD) et Dominique Joly (FN) alliés au second tour, ont déposé un recours au Conseil d’Etat vendredi 28 novembre pour contester la décision du Tribunal administratif de valider l’élection municipale.

Voeux de Françoise Lecoufle à Limeil-Brévannes

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Françoise LecoufleFrançoise Lecoufle, maire UMP de Limeil-Brévannes, présentera ses voeux à la population ce mercredi 14 janvier à partir de 19h30 à la Boîte à clous.

Une galette des rois est prévue ensuite.

Départementales: liste des candidats UMP-UDI-Modem du Val de Marne

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bulle origami : départementales marianne 2015Les présidents respectifs de l’UMP, l’UDI et le Modem Val de Marne ont dévoilé ce 19 janvier leurs candidats en commun aux élections départementales des 22 et 29 mars 2015.

Un accord définitif a été trouvé entre les 3 partis dans 20 cantons sur 25. Dans 2 cantons, Charenton – Saint-Maurice – Joinville et Le Perreux- Nogent, des binômes UMP ont été nommés mais le centre n’a pas encore confirmé s’il faisait cause commune ou non. Dans 3 cantons, les partis sont sur la même ligne mais les candidats ne sont pas encore arrêtés (Choisy-le-Roi Villeneuve-Saint-Georges), ou seulement partiellement  (Orly Ablon Villeneuve le Roi). Dans plus de la moitié des cantons, le binôme de candidats titulaires se partage entre l’UMP et le centre droit.

A lire aussi :
liste des candidats PS
liste des candidats PCF

Ci-dessous la liste des candidats, article plus détaillé sur le lancement de campagne de l’UMP-UDI-Modem  venir.

Numéro Canton Homme Femme
1 Alfortville François Tanguy (Modem et UDI) Déborah Zabounian (UMP)
2 Boissy-Saint-Léger Pierre-Jean Gravelle (UMP) Karine Bastier (UMP)
3 Cachan Sébastien Trouillas (UMP) Sarah Ganne-Lévy (Modem)
4 Champigny-sur-Marne 1 Laurent Jeanne (UMP) Aurore Thiroux (DVD)
5 Champigny-sur-Marne 2 Jean-Pierre Barnaud (Modem) Isilda Silva de Amorin (UMP)
6 Charenton-le-Pont (Soutien du centre à confirmer) Hervé Gicquel (UMP)  Chantal Durand (UMP)
7 Choisy-le-Roi (Réservé) Réservé Réservé
8 Créteil 1 Sylvain Thézard (UMP) Sylvie Smaniotto (UDI)
9 Créteil 2 Thierry Hebbrecht (UMP) Ange Cadot (DVD)
10 L’Haÿ-les-Roses Vincent Jeanbrun (UMP) Frédérique Pradier (UDI)
11 Ivry-sur-Seine Valentin Aubry (UDI) Julie Lefèvre (UMP)
12 Le Kremlin-Bicêtre Benoît Crespin (UMP) Nadia Chiboub (Modem)
13 Maisons Alfort Olivier Capitanio (UMP) Marie-France Parrain (UMP)
14 Orly Didier Gonzales (UMP) Candidate à confirmer
15 Le Perreux-sur-Marne (Soutien du centre à confirmer) Paul Bazin (UMP) Déborah Münzer (UMP)
16 Saint-Maur-des-Fossés 1 Jean-François Le Helloco (UMP) Laurence Coulon (UMP)
17 Saint-Maur-des-Fossés 2 Jean-Daniel Amsler (UMP) Marie-Christine Ségui (UMP)
18 Thiais Richard Dell’Agnola (UMP) Patricia Korchef-Lambert (UMP)
19 Villejuif Thierry Jesset (UDI) Annie Ducellier (UDI)
20 Villeneuve-Saint-Georges Metin Yavuz (Centre) Françoise Lecoufle (UMP)
21 Villiers-sur-Marne Emmanuel Gilles de la Londe (UMP) Sabine Patoux (Modem)
22 Vincennes 1 Julien Weil (UMP) Dominique Le Bideau (Centre)
23 Fontenay Gildas Lecoq (UDI) Brigitte Chambre-Martin (UMP)
24 Vitry-sur-Seine 1 Alain Afflatet (UMP) Anne-Laure Paulet (DVD)
25 Vitry-sur-Seine 2 Emmanuel Njoh (UDI) Bernadette Hérault (UMP)

La droite s’unit pour conquérir le Val de Marne

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Conf presse UMP UDI ModemAlors que la droite est donnée favorite en Seine-et-Marne et en Essonne aux élections départementales de mars 2015, le Val-de-Marne est sur la tangente avec une dizaine de cantons assurés de part et d’autre et cinq où le score sera sans doute très serré comme il l’a été aux municipales.

Pour la droite, le prise du Val de Marne serait une étape de plus dans le grand chelem vers les élections régionales de décembre 2015, après la première vague bleue de mars 2014. Pour le département, le dernier de majorité PCF avec l’Allier, ce serait un séisme, alors qu’il a toujours été communiste en dehors du mandat de Roland Nungesser de 1970 à 1976.

C’est dans ce contexte qu’UMP, UDI et Modem ont conclu de manière inédite un accord au niveau départemental. Ce lundi 19 janvier, les trois partis ont annoncé 20 premiers binômes portés en commun. Voir la liste complète par canton.

Génération municipales 2014

Une quarantaine de candidats renouvelés dont la moyenne d’âge est de 47 ans. Seuls 6 des 17 conseillers généraux soutenus par ces trois partis aux dernières élections sont à nouveau en lice à Maisons-Alfort avec Marie-France Parrain et Olivier Capitanio, tous deux UMP, à Champigny-Chennevières avec Jean-Pierre Barnaud (Modem), à Vincennes avec Dominique Le Bideau, centriste sans étiquette et dans le plateau briard et haut Val de Marne avec Pierre-Jean Gravelle et Jean-Daniel Amsler. Les têtes de listes des municipales 2014 fournissent le gros du bataillon avec des nouveaux maires comme Vincent Jeanbrun (L’Haÿ), Françoise Lecoufle (Limeil), Marie-Christine Ségui (Ormesson), des maires ré-élus qui ont perdu leur siège de député en 2012 comme Didier Gonzales (Villeneuve-le-Roi) ou Richard Dell’Agnola (Thiais), ou encore des non-élus sur des terres de gauche comme le binôme Gildas Lecoq – Brigitte Chambre-Martin à Fontenay, Benoit Crespin à Gentilly, Metin Yavuz à Valenton ou encore Alain Afflatet à Vitry. Dans plusieurs cantons encore, ce-ne-sont pas les maires élus qui se présentent mais des membres de leur équipe comme à Saint-Maur avec les deux adjoints Jean-François Le Helloco et Laurence Coulon, Karine Bastier à la Queue en Brie, Sabine Patoux au Plessis, Emmanuel Gilles de la Londe à Bry…

Les points qui coincent encore

Dans deux cantons, Charenton-Joinville-Saint-Maurice et Nogent-Le Perreux, l’UMP a désigné des binômes mais l’UDI ne s’est pas encore prononcé sur le soutien ou non à cette candidature. Des désaccords subsistent sur les noms des suppléants à Charenton, qui font suite à des dissensions lors des municipales. L’accord n’est pas non plus acté sur Nogent Le Perreux. A Villeneuve-Saint-Georges-Choisy, où l’UMP avait investi la seconde de liste du divers droite Philippe Gaudin qui avait fait alliance avec le FN au second tour des municipales de Villeneuve, la situation a évolué et UMP, UDI et Modem sont en phase pour ne pas mettre en lice de candidat marqué par l’alliance avec le FN, mais les noms ne sont pas encore sortis du chapeau. Restent également deux candidates à désigner à Cachan et Orly.

A noter aussi que l’union officielle des partis n’empêchera pas ici ou là de possibles candidatures dissidentes, comme à Villejuif où Jean-François Harel (UDI) s’interroge.

Gauche divisée,  Front National conquérant, abstentions…

En plein élan depuis les dernières municipales, la droite et le centre droit peuvent aussi compter dans le département sur les grandes difficultés de la gauche à se rassembler, déchirée notamment entre ceux qui refusent toute union avec les alliés de la politique gouvernementale et les autres, et pas tout à fait remise non plus des alliances passées entre socialistes et écologistes aux précédentes cantonales, toujours pas digérées par les communistes. Alors que de beaux scores semblent aussi promis au Front National, un sondage Odoxa de décembre le plaçant en tête des intentions de vote des Français, et que le parti a raflé 24 sièges  de conseiller d’opposition dans 11 villes du département, les représentants de la droite val de marnaise ne semblent pas non plus inquiets, comptant justement sur leur alliance pour passer systématiquement devant, et sur la règle des 12,5% d’inscrits obligatoires pour se maintenir au second tour (sauf si l’on est en 1er ou 2e bien-sûr), pour éliminer le parti de Marine Le Pen dès le premier tour. La règle des 12,5% d’inscrits est effet difficile à atteindre compte-tenu des taux d’abstention importants. Pour obtenir 12,5% des vote de l’ensemble des inscrits, avec un taux de 40% d’abstention par C Cambonexemple, il faut obtenir au moins 20% des suffrages. « Nous disons aux candidats, faîtes votre campagne sur vos valeurs, votre programme, creusez votre sillon, c’est le plus important. Le FN est faiblement implanté dans le Val de Marne« , indique Christian Cambon, président de l’UMP 94. « Les candidats FN aux cantonales ont rarement O Capitanioun ancrage local, ce-sont des mercenaires avec une étiquette« , ajoute Olivier Capitanio, président du groupe UMP au sein du Conseil général. « Je pense qu’aucun canton n’est gagnable par le FN D Doussetdans le département », conclut Didier Dousset, président du Modem 94. Concernant l’abstention, les représentants de la droite estiment que le caractère national de l’élection, d’habitude renouvelée pour moitié seulement tous les trois ans, va la rendre plus visible que les cantonales précédentes, « comme une petite législative ». Et puis, ce sera le premier scrutin après les attentats de janvier qui ont suscité une immense émotion dans le pays et donné lieu à une forte mobilisation citoyenne qui se retrouvera peut-être dans la participation, se questionnent les responsables départementaux.

Programme : finances, non-critérisation, rayonnement métropolitain

En termes de programme, la droite val de marnaise met en avant la gestion financière, la politique du logement. « Il faut arrêter de construire du logement social dans les villes qui sont au-delà de 40%-50% et réorienter les crédits vers la réhabilitation« , insiste Olivier Capitanio. L’opposition dénonce également un clientélisme dans la distribution des subventions aux associations, estimant que « plus de la moitié est versée dans des villes de gauche et seulement 20% dans les villes de droite, le reste étant affecté hors du département », précise le président de l’opposition UMP au Conseil général. Dans le collimateur de la droite départementale également : la politique de « critérisation » qui consiste en une corrélation entre la participation financière du Conseil général aux constructions de logements sociaux et de crèches et la proportion réelle de logements sociaux des villes. Pour la majorité du Conseil général, il s’agit d’encourager les villes qui font le plus d’efforts sociaux, pour l’opposition, cela renforce les inégalités. Un désaccord qui se retrouve au coeur des échanges chaque année lors de la préparation du budget.

« Nous souhaitons aussi développer une ambition plus forte pour l’Est parisien. Le Val de Marne n’a pas trouvé sa place dans la métropole » , insiste Christian Cambon. « Le L Lafondépartement n’est pas audible dans la métropole, il est isolé et n’a pas de projet. La Seine-Saint-Denis qui partait avec le même handicap a davantage avancé« , souligne pour sa part Laurent Lafon, président de l’UDI 94.

 


Le site Internet de Limeil rétabli

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hack limeil brevannes(Mise à jour 12:00 : le site a été remis en service) Un message de non à Saint Valentin sur un air de rap, telle était depuis mardi matin la nouvelle page d’accueil du site de Limeil-Brévannes, victime de hacking par une mystérieuse « Muslim Cyber force ».

L’hébergeur du site Phpnet, a tenté de supprimer l’accès au site en fin de journée mardi mais la page de hack était de nouveau en ligne ce mercredi matin. Le site a été rétabli en fin de matinée.

La maire de la ville, Françoise Lecoufle, a déposé plainte.

Rébellion contre la fermeture de la crèche familiale à Limeil-Brévannes

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Bouts d'chou Limeil BrevannesA Limeil-Brévannes, la fermeture programmée d’ici l’été 2015 de la crèche familiale Les Bout’d’chou suscite la rébellion parmi les parents et les assistantes maternelles municipales  qui ne veulent pas perdre leur poste. La maire défend cette décision dans le cadre d’une restructuration visant à augmenter le nombre global de places de crèche dans la ville.

Dans la rue des Tilleuls de Limeil, Les Bout’d’chou, ce-sont trois structures : une crèche familiale (d’une capacité d’accueil de 35 places) au sein de laquelle 10 assistantes maternelles municipales viennent avec les enfants qu’elles gardent chez elles, à raison de deux demi-journées par semaine, pour les habituer progressivement à la vie en collectivité jusqu’à l’âge de deux ans;  une mini-crèche (d’une capacité d’accueil de 18 places) qui accueille les enfants à plein temps de l’âge de deux ans jusqu’à leur entrée en maternelle;  et une halte-garderie (d’une capacité d’accueil de 15 places) ouverte 4 jours par semaine. Dans le cadre de sa politique petite enfance, la ville a décidé de recomposer l’offre en transformant cet espace en une structure unique d’une capacité d’accueil de 39 places, ouverte 5 jours par semaine,   en plus de l’extension de la micro-crèche Pain d’épice qui passera de 10 à 15 places et de l’ouverture d’une nouvelle crèche de 36 places dans le quartier Saint-Martin à la fin de l’année.

« Le coût d’une place en crèche familiale revient à 11 000 euros contre 6 000 euros dans les autres structures. Nous préférons proposer plus de places aux familles pour le même prix, motive la maire UMP de la ville, Françoise Lecoufle. En plus, le système n’est pas pratique car les assistantes maternelles peuvent garder jusqu’à trois enfants mais elles ne peuvent se déplacer en voiture à la crèche familiale qu’avec deux enfants. Il faut donc mobiliser une personne pour venir chercher le troisième enfant. La crèche restera ouverte jusque cet été et nous avons pris l’engagement auprès des parents qu’ils disposeraient d’une place dans la crèche à  la rentrée. »

Les parents et les assistantes maternelles ont pour leur part accueilli froidement la nouvelle. « Il n’y a pas eu de concertation préalable avec les personnes concernées, regrette une mère. Pour les enfants, nous regrettons la fin de la crèche familiale car c’est un mode de garde fantastique qui permet d’adapter en douceur les enfants à la collectivité, et aurions apprécié d’être prévenus plus tôt. Nous sommes aussi solidaires des assistantes maternelles qui vont être licenciées alors qu’elles avaient choisi ce statut plutôt qu’une installation en libérale, afin de pouvoir bénéficier du soutien d’une structure collective. Des assistantes maternelles nous ont par exemple expliqué les problèmes qu’elles ont pu avoir avec des parents qui ne peuvent plus payer ou qui ont une dépendance à l’alcool et leur laissent l’enfant tout un weekend. »

« Nous allons rencontrer chaque assistante maternelle et leur ouvrir la possibilité de devenir ATSEM dans les écoles maternelles ou d’acquérir un diplôme pour rejoindre une structure collective via la VAE (Validation des acquis par l’expérience). Pour les assistantes maternelles qui exerceront leur profession de manière autonome, nous avons aussi accepté d’étudier leurs conditions de logement, reprend la maire de la ville. Concernant les parents, nous les avons prévenus suffisamment tôt, leur garantissons une place en crèche à la rentrée, et organisons un baby-dating au mois de mai. Enfin,  le CCAS contribue en fonction des revenus pour combler la différence de coût entre crèche et assistante maternelle« , complète Françoise Lecoufle.  Délégué syndical FSU, Kader Derni exige pour sa part un reclassement de toutes les assistantes maternelles, en « CDI ou titularisées » et demande que soit remise en question la fermeture de la crèche « car c’est le souhait des assistantes maternelles. »

Afin de susciter le débat sur cette question lors du prochain Conseil municipal qui se tient le jeudi 19 février à 20h30, les parents ont décidé d’organiser un manifestation devant la mairie juste avant. Le Front de Gauche a également déposé une question écrite au Conseil municipal sur ce sujet.

Par ailleurs, les parents ont lancé une pétition qui a récolté (à l’heure de la publication de l’article) 364 signatures en ligne et environ 200 sur papier selon la mère interrogée.  Voir la pétition.

Candidats par canton aux départementales 2015 Val de Marne

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Elections departementales 2015La grande majorité des 139 listes déposées en préfecture du Val de Marne pour se présenter aux suffrages des élections départementales des 22 et 20 mars 2015 étaient déjà annoncées depuis plusieurs jours, issues des grandes formations politiques. Quelques outsiders se sont 

néanmoins glissés ici et là, comme par exemple un candidat surprise dans le canton du président du Conseil général sortant, une candidature écologiste à Villeneuve-Saint-Georges où Thiaba Bruni a cette fois déposé sa liste dans les temps, ou encore la présence de quatre candidatures Debout la France à Choisy, Villeneuve-Saint-Georges,Vitry et le plateau briard, sans compter quelques listes indépendantes.

105 listes sur 139 ont d’ores et déjà été validées. Les 139 doivent l’être définitivement pour le 20 janvier.

Ci-dessous les candidats par canton, sous réserve de validation finale

Voir aussi les listes de candidats par parti :  UMP-UDI-Modem ; PCF ; PS ; EELV ; FN.

Les noms des partis sont indiqués après les noms et avant les /. 

1 Alfortville /Joel Schnapp et Pascale Louis FG/ Mohamed Chikouche et Isabelle Santiago PS-EELV/François Tanguy (Udi) et Déborah Zaboudian (UMP)UMP-Modem-UDI/ Pierre Fouchard et Françoise Blot (FN) /Geneviève Billard et Laurent David (DVG)

2 Arcueil – Cachan/ Claude Plan et Carine Delahaie FG/Daniel Breuiller (EELV)et Hélène de Comarmond (PS) PS-EELV/Sébastien Trouillas (UMP) et Sarah Ganne-Lévy (Modem) UMP-Modem-UDI/Denis Truffaut et Manon de Saint Just (FN)/Maryvonne Rocheteau et Dominique Lanoë (PG- Soc civile)

3 Champigny-sur-Marne 1/ Christian Favier et Jeannick Le Lagadec (PG) FG-EELV/ Laurent Jeanne (UMP) et Aurore Thiroux (DVD) UMP-Modem-UDI/Jean Marie Rougier et Anne-Marie Hotze (FN) /Patrick Nello et Aline Luksemburg (DVG)

4 Champigny-sur-Marne – Chennevières-sur-Marne/Alain Audhéon et Marie Kennedy FG-EELV/ Jean Djebara et Caroline Adomo (PS)/ Jean-Pierre Barnaud (Modem) et Isilda Silva de Amorin (UMP)/Thierry Devige et Virginie Recher (FN) Bernard Haemmerlé et Carine Borduy (DVD)

5 Charenton-le-Pont – Joinville-le-Pont – Saint-Maurice/Claude Nicolas et Emilie Bertrand FG/Jean-François Clair et Alison Uddin PS/Frédéric Leonzi et Warda Abdelkader EELV/Hervé Gicquel et Chantal Durand UMP/François Pinloche et Maria Gomez-Fardo (FN)/Sylvie Mercier et Thierry Vimal Nous Citoyens

6 Choisy-le-Roi Villeneuve-Saint-Georges/Didier Guillaume et Nathalie Dinner FG/Vincent Tisler et Myriam Gaye (PRG) PS/Birol Biyik (PRG dissident) et Malika Benkahla EELV/Tonino Panetta et Chloé Metahri UMP-Modem-UDI/Dominique Joly et Lucie Dos Santos (FN)/Moustapha Thiam et Elise Lyfoung Nous Citoyens/ Emmanuelly Gougougnan-Zadigue et Michèle Gillet (DLF)

7 Créteil 1 (Ouest)/Mehedi Henri et Tatjana Tesanovic FG/Abraham Johnson et Josette Sol PS/Frédéric Houel et Catherine De Luca EELV/Sylvain Thézard (UMP)et Sylvie Samniotto (UDI) UMP-Modem-UDI/Gaétan Marzo et Maryse Auger (FN)

8 Créteil 2 (Est)/Jean Amar et Ouarda Iratni-Gasmi FG/Bruno Helin et Brigitte Jeanvoine (soc. civ.)PS/Michel Amar et Marianne Boulc’h EELV/Thierry Hebbrecht (UMP) et Ange Cadot-Sevestre (DVD) UMP-Modem-UDI/Raphael Quinart et Marie-Agnès Houcq (FN)

9 Fontenay-sous-Bois Vincennes Est/Gilles Saint-Gal et Sokona Niakhate FG/ Florian James et Laure Herbert PS/Marc Brunet et Ouardia Sadoudi EELV/Gildas Le Coq (UDI) et Brigitte Chambre-Martin (UMP) UMP-Modem-UDI/Gilles Parmentier et Jeanne Humeau (FN)/Murielle Michon et Christophe Mathieu (Modem dissident) soutien LRC

10 L’Haÿ-les-Roses – Fresnes/Stéphane Coloneaux (PCF) et Brigitte Tironneau (PS dissidente) FG/Philippe Vafiades et Fabienne Heilbronn PS/Constant Abessolo et Marie Leclerc-Bruant EELV/Vincent Jeanbrun (UMP) et Frédérique Pradier (UDI)UMP-Modem-UDI/Jean-Claude Denolle et Jeannine Viaud (FN)/ Rémi Rondelet (Non inscrit) et Mireille Gillet (UMP dissidente)

11 Ivry-sur-Seine/Pascal Savoldelli et Lamya Kirouani FG/ Simon Decouvoux et Sigrid Baillon PS/Tariq Ait Amara et Sabrina Sebaihi EELV/Valentin Aubry (UDI) et Julie Lefèvre (UMP) UMP-Modem-UDI/Alex Brument et Lydie Brémont FN/Maria Alexandre Comado et Dominique Coujard (DVG)

12 Le Kremlin-Bicêtre Gentilly/Alain Desmarest et Fatiha Aggoune FG/Jérôme Giblin (PS)et Sarah Benbelkacem (MRC) PS-MRC/Bernard Chappellier et Nadine Herrati EELV/Benoît Crespin (UMP)et Nadia Chiboub (Modem) UMP-Modem-UDI/Alexandre Romensky et Gabrielle Vuillard FN/Laïd Hadjidj et Barbara Pompignac (SE)

13 Maisons-Alfort/Alain Berthelot et Marie Tiphagne FG/Xavier Cohard et Sophie Gallais PS/Bernard Bouché et Catherine Perducat EELV/Olivier Capitanio et Marie-France Parrain UMP-Modem-UDI/ Gérard Castre et Paulette Honquert (FN) /Franck Monfort et Isabelle Cussac (SE)

14 Nogent-sur-Marne Le Perreux-sur-Marne/Alain Piglione et Caroline Lafon FG/Patrick Mouge (PRG) et Fabienne Gysel (PS)/Joseph Terribile et Annie Lahmer EELV/Paul Bazin et Déborah Münzer (UMP)/Claude Lédion et Marie Lepeuve (FN)

15 Orly Ablon-sur-Seine Villeneuve-le-Roi/Daniel Guérin (MRC) et Christine Janodet (GC)/Didier Gonzales et Nicole Duru UMP-Modem-UDI/Claudio Pissarra et Marie Riesemann (FN)

16 Boissy-Saint-Léger Mandres-les-Roses Marolles-en-Brie Noiseau Périgny-sur-Yerres La Queue-en-Brie Santeny Villecresnes/ Philippe Chrétien et Martine Aubry FG/Zakaria Zaidane et Corinne Durand PS/Jean Chagny et Julie Servin EELV/Pierre-Jean Gravelle et Karine Bastier UMP-Modem-UDI/Christian Klimczac et Béatrice Marquant (FN) /Daniel Gasnier et Nadejda Babou (DLF)

17 Saint-Maur-des-Fossés 1/Laurent Havre et Claire Giardelli FG/Lucas Eldin et Elisabeth Bouffard-Savary PS/Jacques Coquelin et Danièle Villaumié EELV/Jean-François Le Helloco et Laurence Coulon UMP-Modem-UDI/Antoine Elkik et Isabelle Huguenin-Richard FN/Jacques Leroy et Anne Auvrignon Nous Citoyens

18 Saint-Maur-des-Fossés Bonneuil-sur-Marne Ormesson-sur-Marne Sucy-en-Brie/Patrick Douet et Micheline Gervelas FG/Smain Oussedik et Christine Moreau PS/Jean-Paul Grange et Linda Laforge EELV/Jean-Daniel Amsler (UMP) et Marie-Christine Ségui (UMP) UMP-Modem-UDI/Alexandre Pallares et Valarie Gervois FN

19 Thiais Chevilly Rungis/Christian Hervy et Laurence Le Souffaché (EELV) FG-EELV/Yacine Ladjici et Patricia Jonnet PS/Richard Dell’Agnola (UMP) et Patricia Korchef-Lambert (UMP) UMP-Modem-UDI/Francis Plainchant et Marie-Thérèse Gervais FN/Bruno Tran et Sylvie Zerbib (DVD)

20 Villejuif/Pierre Garzon et Flore Munck PCF/Nassufdine Mohamed et Malika Kacimi PS/Alain Lipietz et Alice Stagnetto-Onana EELV/Thierry Jesset (DVD) et Annie Ducellier (Udi) UMP-Modem-UDI/Alexandre Gaborit (Conseiller Municipal) et Juliette Lauzza FN/Djamel Arrouche et Élisabeth Arend (PG soc. civile)/ Marc Badel et (MRC-PRG)/

21 Villeneuve-Saint-Georges Limeil-Brévannes Valenton/Daniel Henry et Claude Simon PCF/Mohamed Benali et Cécile N’Soga PS/Laurent Ait Hamma et Thiaba Bruni (EELV) /Metin Yavuz (Centre et Françoise Lecoufle (UMP) UMP-Modem-UDI/Arthur Landon et Murielle Gap FN/ Lionel Mazurié et Anastasia Marie de Ficquelmont (DLF)

22 Villiers-sur-Marne Bry-sur-Marne Le Plessis-Trévise/Marc Norguez et Nathalie Lemaire FG/Frédéric Massot et Dominique Testuz PS/Jacques Grenier et Josette Sauvage EELV/Emmanuel Gilles de la Londe (UMP) et Sabine Patoux (Modem) UMP-Modem-UDI/Jean-Philippe Lévêque et France Duchesne (FN)

23 Vincennes Saint-Mandé/Michel Maherou et Charlotte Pommier (PG) FG/Hugo Cadet et Patricia Guiguet PS/Christophe Ribet et Karelle Pernot EELV/Julien Weil (UMP) et Dominique Le Bideau (Centre) UMP-Modem-UDI/Christian Tollari et Yassia Souih-Bordais FN/ Hervé Balle (LRC) et Marie-Odile Perru (Centre) LRC et Cap 21

24 Vitry-sur-Seine 1/Pierre Bell-Lloch et Corinne Barbe PCF/ Philippe BAYARD (PRG) et Bernadette Ebode Ondobo PS /Frédéric Bourdon et Martine Lachaud (PG) EELV/Alain Afflatet (UMP) et Anne-Laure Paulet (DVD) UMP-Modem-UDI/Rémi Lefebvre et Angélique Lachaume (FN)/Rached Tombari et Nadia Zidane (SE)

25 Vitry-sur-Seine 2/Hocine Tmimi et Evelyne Rabardel PCF/Lionel Ngama Ackiana et Sarah Taillebois PS/Jacques Perreux et Laurence Dexavary EELV/Emmanuel Njoh (UDI) et Bernadette Hérault (UMP) UMP-Modem-UDI/François Paradol et Thérèse Patry (FN)/Rémy Ramassamy et Valérie Paquion (DLF)

La maire de Limeil lance une pétition pour évacuer le bidonville de Roms

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Bidonville Roms LimeilAlors qu’un  bidonville de Roms s’est constitué dans le quartier des Temps durables de Limeil-Brévannes depuis le mois de septembre,  la maire UMP de la ville, François Lecoufle, vient de lancer une pétition à l’attention de la préfecture pour demander son démantèlement,

intitulée « Pour que la Préfecture évacue le campement de Roms, je défends ma qualité de vie ».

« Depuis septembre, date d’installation des premières baraques, la ville multiplie les actions (arrêté de mise en demeure d’évacuer les lieux, interventions de la Police Municipale) et les demandes. Pourtant, la Préfecture ne souhaite apparemment pas s’impliquer dans ce dossier. Et ce malgré une décision du Tribunal Administratif de Melun (17 décembre 2014) qui a jugé l’arrêté municipal précité légal ! La ville a donc souhaité lancer cette pétition pour montrer que les Brévannais sont inquiets pour leur sécurité et cadre de vie, et qu’ils ne lâcheront jamais. Il est devenu urgent que la Préfecture agisse », motive Françoise Lecoufle.« Cette pétition sera diffusée via le site internet de la mairie et les réseaux sociaux. Elle sera également disponible à l’hôtel de ville et ses annexes, ainsi que les chez les commerçants. Des opérations de signature sur le terrain seront également organisées », précise la maire de la ville.

« Une évacuation sans solution de relogement ne réglera pas le problème, elle éparpillera les gens qui s’installeront ailleurs.  Ce n’est pas le moment d’expulser des gens alors qu’il fait très froid, dénonce pour sa part Aline Poupel, du collectif Romeurope 94. 

Temps Durables LimeilAu total, une soixantaine de Roms vivent sur place, et la cohabitation avec les nouveaux habitants du quartier durable se passe plus ou moins bien. « Il faut qu’ils partent ! » s’exclame une retraitée installée aux Temps Durables depuis 2012. J’ai été victime d’une tentative de cambriolage, par des amateurs, selon le serrurier. Même si je n’ai pas de preuves, je suis obligée de faire le lien avec le camp« , reprend-elle.  « Ce qu’on dénonce, ce sont les squats, les dégradations de local poubelle, ou les dépôts sauvage de déchets« , pointe une uatre habitante. « La ville est responsable de l’insalubrité des lieux car elle ne met pas de poubelle ni d’eau à disposition », note de son côté Aline Poupel.

« En 2012, un premier bidonville s’était installé, démantelé à la mi-février 2014 au terme d’une longue procédure judiciaire. Un mois après, de nouveaux bidonvilles émergeaient sur le  talus qui fait face à l’Intermarché du quartier. Le problème n’est jamais réglé » se plaint un autre riverain tout en ajoutant : »On ne demande pas juste qu’ils soient expulsés : on veut qu’ils aient une vraie solution de logement, avec des conditions de vie plus humaines. »

 

 

Femmes politiques élues en Val de Marne : il y a encore du boulot!

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Maires Val de Marne 29 femmes maires sur 47 communes, 16 conseillères générales sur 49 élus, aucune présidente d’agglomération sur 7 intercommunalités, 1 députée sur 11 circonscriptions… Au Sénat en revanche, le Val de Marne atteint la parité homme-femme avec 3 sénatrices et 3 sénateurs.

Au Conseil régional d’Ile de France, les élues du Val de Marne sont au nombre de 9 sur 16, et sont donc en légère majorité. Enfin, la seule représente du département au parlement européen est une femme, Christine Revault d’Allonnes (PS).

La haute administration s’en sort toutefois encore mieux avec une femme rectrice, Béatrice Gille, qui a succédé à une autre femme, Florence Robine, elle-même nommée à la tête de la Dgesco (Direction générale de l’Enseignement scolaire). L’Education nationale a également une Dasen (Directrice académique des services de l’Education nationale) en la personne de Elisabeth Laporte. La justice du Val de Marne encore, est tenue par une procureure de la République, Nathalie Bécache. La préfecture ne s’est en revanche pas encore féminisée, qui a connu 18 préfets homme de Paul Camous à Thierry Leleu.

En images

9 maires sur 47 communes

Maires Val de Marne 2

Marie-Carole Ciuntu (UMP, Sucy-en-Brie) / Christine Janodet (GC, Orly) / Françoise Lecoufle (UMP, Limeil-Brévannes) / Sylvie Altmann (PCF, Villeneuve-Saint-Georges) / Patricia Tordjman (PCF, Gentilly) /Sylvie Gérinte / Stéphanie Daumin (PCF, Chevilly-Larue) / Marie-Christine Ségui (UMP, Ormesson-sur-Marne) / Françoise Baud (PCF, Valenton).

3 femmes sur 6 sénateurs 

Senatrices Val de Marne 2

Esther Benbassa (EELV), Catherine Procaccia (UMP), Laurence Cohen (PCF)

Une seule députée sur 11 circonscriptions

Laurence AbeilleLaurence Abeille (EELV)

Le seul parlementaire européen du Val de Marne est une députée européenne

Christine Revault Dallonnes Bonnefoy

Christine Revault-d’Allonnes-Bonnefoy (PS)

16 femmes sur 49 sièges au Conseil général

A noter qu’elles seront 25 sur 50  à l’issue des élections départementales des 22 et 29 mars qui proposent un scrutin binominal homme-femme par canton. Plusieurs actuelles conseillères générales ont pu accéder à l’assemblée grâce à l’élection en tant que député ou sénateur d’un précédent conseiller général homme, c’est le cas de Brigitte Tironneau à Fresnes et Muriel Devaux à Saint-Maur-des-Fossés, après l’élection comme députés de Jean-Jacques Bridey et Sylvain Berrios, d’Isabelle Santiago à Alfortville après l’élection de Luc Carvounas comme sénateur ou encore de Nathalie Eroukhmanoff (DVD) après la démission de son père.

CG 94

Chantal Bourvic (PCF, Ivry-sur-Seine) / Josette Sol (PS, Créteil) / Isabelle Santiago (PS, Alfortville) / Evelyne Rabardel (PCF, Vitry-sur-Seine) / Christine Janodet (GC, Orly) / Catherine Procaccia (UMP, Vincennes) / Liliane Pierre (PCF, Fontenay-sous-Bois) / Mary-France Parrain (UMP, Maisons-Alfort) / Dominique Le Bideau (DVD, Vincennes) / Nathalie Dinner (PCF, Villeneuve-Saint-Georges) / Marie Kennedy (PCF, Champigny-sur-Marne) / Brigitte Jeanvoine (PS, Créteil) / Simonne Abraham-Thisse (PS, Villiers-sur-Marne) / Muriel Devaux (UMP, Saint-Maur-des-Fossés) / Brigitte Tironneau (ex PS, Fresnes) / Nathalie Eroukhmanoff (DVD, Saint-Mandé)

Sur ces 16 conseillères générales,  4 femmes font partie de l’exécutif sur les 14 vice-présidents : Birgitte Jeanvoine, Liliane Pierre, Evelyne Rabardel et Isabelle Santiago. A noter également qu’aucun président du Conseil général n’a été une femme depuis l’existence de cette assemblée.

 9 femmes sur 16 élus du Val de Marne au Conseil régional d’Ile de France

Femmes Conseil régional

Geneviève Altman (PCF), Nadia Brahimi (PS), Stéphanie Chupin (UMP), Marie-Carole Ciuntu (UMP), Laurence Cohen (PCF), Leila Diri (UDI), Patricia Comlan-Gomez (PS), Dominique Jossic (Ecologistes indépendants), Marianne Boulc’h (EELV)

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