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Channel: L'actu de Françoise Lecoufle dans le Val-de-Marne | Citoyens.com
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Polémique suite à l’empêchement de construire le centre pour mères isolées à Limeil

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Avenue Alsace Lorraine LimeilPlus une seule construction de logements collectifs, c’est le mot d’ordre à Limeil-Brévannes depuis l’élection de la maire UMP Françoise Lecoufle en mars 2014. Une règle qui ne souffre aucune exception, même le centre d’hébergement d’urgence prévu de longue date par plusieurs associations catholiques

et dont la première pierre a été posée en mai dernier présence de l’évêque de Créteil, Monseigneur Santier.

Cette semaine, la ville a déclaré caduc le permis de construire de l’association car il avait été signé en 2012 et les travaux n’avaient pas commencé. Et si un nouveau permis est déposé demain, ce sera non. « Je n’ai ai signé aucun permis depuis que j’ai été élue. Tout ce que je peux arrêter, je l »arrête. Je n’ai pas de place pour mettre les enfants dans les écoles, c’est ma priorité par rapport au logement. Les chiffres officiels font état de 21 000 habitants mais en réalité nous sommes 26 000 en tenant compte des récentes constructions« , insiste l’élue, qui calcule les conséquences en termes d’équipement et installation publique à réaliser. « Il nous reste 4 millions de voirie à réaliser dans le quartier Pasteur. Personne ne fera à ma ma place l’école et les assainissements. Une classe, c’est 500 000 euros. »

Une décision inacceptable pour la SCIC Habitats Solidaires qui a déposé un recours au tribunal administratif. La résidence devait être gérée par l’AUVM (Aide d’Urgence du Val de Marne), association qui regroupe localement le Secours Catholique, EMMAÜS, les Conférences Saint-Vincent-de-Paul et ATD Quart-Monde pour répondre aux besoins d’hébergement d’urgence, et prévoyait 23 logements passerelle capables d’accueillir 80 personnes. Un investissement de 4 millions d’euros subventionné par la région à hauteur 800 000 euros.

Dès le mois de mai, la maire de la ville avait indiqué qu’elle était contre ce projet et qu’elle vérifierait la validité du permis à défaut de pouvoir revenir dessus.

« Cette décision me choque profondément par l’égoïsme et l’inhumanité qu’elle dénote. Déjà courant 2014 la volonté du maire d’empêcher cette réalisation s’était manifestée par le retrait d’une garantie d’emprunt sur ce projet engagé par la précédente municipalité. Le Conseil Général avait décidé de suppléer à cette carence, malgré l’opposition du groupe UMP, en se portant pour partie caution solidaire de ce programme d’habitat. Je regrette l’entêtement du maire à vouloir faire échouer un projet généreux utile et nécessaire, alors qu’il n’engage nullement les finances communales », a pour sa part réagi le président du Conseil général PCF Christian Favier dans un communiqué, apportant son soutient aux démarches engagées par le Secours Catholique et Habitats Solidaires.


Christian Favier soigne le canton de Villeneuve-Saint-Georges

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Favier-Habitant-Seimaroise-Limeil-Départementales2015A quelques jours du premier tour des élections départementales, Christian Favier, président PCF du Conseil général en campagne pour sa réélection, ne ménage pas sa peine pour parcourir tous les cantons communistes et dont il entend bien qu’ils le restent.

Celui de Villeneuve-Saint-Georges est tout particulièrement sensible. Ses 23 600 électeurs se répartissent entre  6000 dans une fraction de Villeneuve-Saint-Georges, ville n’est restée communiste qu’à un cheveu aux dernières municipales, 6200 à Valenton, et 11 400 à Limeil-Brévannes, gagnée à la la gauche dès le premier tour par la candidate UMP Françoise Lecoufle.

C’est à donc à Limeil-Brévannes que le sénateur communiste a porté ses pas ce mercredi 18 mars pour soutenir les candidats Claude Simon et Daniel Henry, évoquant avec les habitants tous les dossiers polémique de la ville, du centre pour mères isolées dont le permis de construire est remis en question à la fermeture programmée de la crèche familiale, sans oublier un détour pour rencontrer l’imam de la mosquée de Limeil. »C’est symbolique car la municipalité mène exactement la politique dont on ne veut pas« , milite Christian Favier.  »

Favier-Limeil-Secours-Catho-départementales2015

 

 

 

La droite Gagne Villeneuve-Saint-Georges – Limeil

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Christian Cambon vient encourager  Françoise Lecoufle et Metin Yavuz sur le marché de LimeilFrançoise Lecoufle (UMP) et Metin Yavuz gagnent le canton de Villeneuve-Saint-Georges Limeil Valenton à 220 voix d’avance.

Limeil manifeste pour réclamer l’évacuation du bidonville

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Manif Limeil Brevannes prefecture 15 avril photo Patrick NelloAprès avoir lancé une pétition en février, la maire-conseillère départementale UMP de Limeil-Brévannes, Françoise Lecoufle, a manifesté ce mercredi 15 avril devant la préfecture du Val-de-Marne avec une trentaine d’administrés, pour réclamer l’évacuation du bidonville de Roms des Temps durables.

« On nous a fait savoir qu’il s’agissait d’un dossier prioritaire mais nous ne comprenons pas pourquoi rien n’a avancé alors que la décision de justice date de janvier », insiste Françoise Lecoufle, après avoir été reçue par le cabinet de la préfecture. La maire avait pris un arrêté d’expulsion en décembre 2014 mais une procédure en justice de la part du propriétaire du terrain, l’AFTRP, demandant également l’expulsion, avait conduit à attendre la décision de justice, rendue mi-janvier et confirmant l’évacuation.

En ce milieu d’hiver, l’huissier a alors laissé aux familles jusqu’au 15 avril pour évacuer et rédigé son commandement de quitter les lieux en conséquence. Un diagnostic social a commencé, précise la préfecture, et devrait se poursuivre encore quelques jours par une visite sur le terrain, pour évaluer les éventuelles solutions de relogement temporaire.

Au total, une centaine de personnes vivraient actuellement sur le bidonville.

Les associations de soutien comme Romeurope, dénoncent pour leur part cette politique du mistigri consistant à évacuer les populations d’un bidonville lorsqu’elles commencent à y prendre leurs marques, stoppant les démarches d’intégration en cours, et conduisant les familles à retrouver un peu plus loin un nouveau terrain à occuper.

Construction de logement d’urgence à Limeil : la maire envoie la police

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baudry-lecoufle-limeil-2015La construction par Habitats Solidaires et le Secours Catholique d’un centre d’accueil pour mères isolées à Limeil-Brévannes a été  nouveau empêchée par la mairie ce mardi 19 mai. 

Alors qu’une foreuse de 30 mètres de haut avait été acheminée dans la nuit, sur le terrain du diocèse avenue d’Alsace Lorraine, le camion de livraison qui devait apporter entre autres 112 pieux de fondation n’a pas pu entrer sur le chantier. Opposée au « bétonnage » de sa commune, la maire UMP, Françoise Lecoufle, a invoqué un arrêté municipal empêchant la circulation d’un 3,5 tonnes dans sa commune. Le Secours Catholique a déposé une main courante.

« C’est une situation totalement ubuesque » Bernard Baudry, responsable du logement au Secours Catholique du Val-de-Marne, ne décolère pas. Dans un premier temps, la nouvelle municipalité a d’abord pris un arrêté de caducité du permis de construire car ce dernier avait été signé en 2012 mais les travaux n’avaient pas commencé.  La nouvelle édile motivait cette décision par un trop plein de constructions et la nécessité de mettre en face les services publics avant de poursuivre. Une mesure qui a suscité l’indignation jusqu’à l’évêque de Créteil et donné lieu à des recours juridiques dont un porté par la préfecture elle-même. Le mois dernier, la justice a donné raison aux promoteurs du projet, mais la maire n’a pas dit son dernier mot.

« Le transport exceptionnel est à la charge du maire » se défend Françoise Lecoufle, qui a dépêché la police municipale sur le chantier. L’élue assure également ne pas avoir reçu les notifications du tribunal administratif.

foreuse-limeil-centre-mère-isolée-2015

Un dialogue rompu

La confrontation a rapidement tourné court. Bernard Baudry, qui demandait qu’à « titre exceptionnel » le camion puisse livrer le matériel afin de remettre au travail les deux entreprises bloquées par la situation, s’est vu opposé un refus ferme par Françoise Lecoufle. L’édile élue a demandé à ce qu’on « lui montre les bons papiers ». « Tant que je ne suis pas sûre que vous êtes dans votre bon droit, le camion ne passera pas » . Excédé, Bernard Baudry a décidé « d’exposer tout cela  à la police nationale. » Une main courante a été déposée et des représentants seront présents pour l’ouverture du chantier ce jour afin d’évaluer la situation.

A gauche, Françoise Lecoufle, et à droite, Bernard Baudry

A gauche, Françoise Lecoufle, et à droite, Bernard Baudry

Interloqués, les ouvriers du chantier n’avaient « jamais connu pareille situation. Finalement, on perd du temps, et de l’argent » indique le patron de la PME en charge de la construction du bâtiment. Le géomètre, qu’il avait embauché pour une journée, a pu faire ses mesures ce matin mais s’est vu refuser l’accès au chantier après sa pause-déjeuner. « 2000 euros qui s’envolent… » souffle le patron.

Porté par Habitats Solidaires et le Secours catholique, ce projet de 23 logements passerelles doit accueillir 80 personnes. Le Centre d’hébergement d’urgence doit être construit sur un terrain du diocèse de 3 200 m², avenue d’Alsace Lorraine.  Il sera géré par six salariés dont trois travailleurs sociaux.

Rythmes scolaires: Limeil ouvrira ses écoles le mercredi

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Ecole Jean Louis Marqueze Limeil Brevannes credit ville Limeil BrevannesAprès avoir fermé ses écoles ce mercredi 5 septembre en signe de protestation contre la réforme des rythmes scolaires, Limeil-Brévannes ouvrira finalement le mercredi. La commune avait été assignée en justice par la préfecture

suite à la fermeture des écoles ce mercredi et la maire UMP de la ville, Françoise Lecoufle, a pris acte du refus de l’Education nationale d’accéder à sa demande de dérogation. « L’état n’a rien voulu lâcher ! », regrette l’élue dans un message aux parents. Les cours auront donc lieu de 9h à midi puis de 14h à 16h15 les lundi, mardi, jeudi et vendredi, et le mercredi de 9h à 12h. En conséquence, explique la maire, le temps d’accueil du matin (hors mercredi) s’effectuera de 7h30 à 9h00 au lieu de 7h30 à 8h30. « Ces services restent payants. Leur coût s’en trouvera augmenté« , prévient l’élue. La maire rappelle également que la ville n’a pas les moyens de mettre en place un système d’activités péri-scolaires le mercredi : »Il n’y aura donc ni pedibus, ni temps d’accueil avant la classe, ni restauration.«   Voir le communiqué complet.

Suite à cette première semaine de rentrée, une réunion s’est tenue avec des parents d’élève le vendredi 5 septembre au soir, lors de laquelle ont été évoquées plusieurs pistes d’assouplissement comme un possible retour à l’école à 8h30 le matin, ce qui éviterait aux parents d’avoir à payer un supplément entre 8h30 et 9h. Cet assouplissement pourrait être discuté avec l’Education nationale d’ici les vacances de la Toussaint.

La maire de la ville a également indiqué qu’un service de cantine se tiendrait le mercredi pour les élèves allant au centre de loisirs. Concernant l’accueil entre 7h30 et 9h le mercredi, les choses pourraient aussi évoluer à l’avenir. Un point essentiel selon l’association de parents d’élèves indépendante du GIPE.

Reste également la question des NAP (Nouvelles activités périscolaires) que la ville n’entend pas mettre en place dans les deux ans qui viennent, faute de moyens. « La réforme n’a aucun intérêt pour les enfants si les NAP ne sont pas mises en place », regrette le Gipe qui rappelle que la dépense prévue pour mettre en place les rythmes scolaires avec les NAP lors des réunions sur ce sujet en début d’année se situait entre 450 000 € et 600 000 € et que l’on peut déduire de cette somme 160 000 € d’aide de l’Etat et 160 000 € d’aide de la Caisse d’allocations familiales.

De son côté, le Front de Gauche a dénoncé dans un communiqué la fermeture de l’école le premier mercredi de la rentrée comme étant inadmissible.

 

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Réunion publique à Limeil: la guerre est déclarée avec l’ex-maire

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Confrontation - 7venPas question en effet de faire la paix avec l’ancienne majorité à Limeil-Brévannes. La réunion qu’organise la nouvelle maire UMP, Françoise Lecoufle, avec les habitants, ce mardi 16 septembre à 20 heures à la Boite à clous, s’est fixée un ordre du jour offensif.

Le principal sujet y sera en effet la « facture Rossignol »du nom de l’ancien édile, que la nouvelle élue a chiffré à 45 millions d’euros. Ainsi est titrée du reste la lettre du maire publiée pour l’occasion, qui sous-titre « Comment les mauvais choix de l’ancien maire ont conduit la ville à la faillite« . Précisément, le document additionne 3,6 millions € liés au projet de réseau fibre optique indépendant, 5 millions € de « cadeaux faits au promoteurs« , 0,5 million € « d’arrangements électoralistes« , 20,5 millions € de sus-investissement en équipement, 6 millions € de « gestion chaotique » et encore 9 millions € liés au solde déficitaire de la société d’économie mixte Semalb. Voir article précédent avec la réaction de Joseph Rossignol, qui avait parlé  de « réécriture de l’histoire pour masquer l’incompétence ». Voir la lettre de la maire.

Les autres sujets à l’ordre du jour de la réunion sont le bilan des 6 premiers mois de mandat et le lancement des conseils de quartier.

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Limeil-Brévannes renonce à son pôle culturel

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Pole Culturel Limeil BrevannesComme annoncé par la nouvelle maire UMP de Limeil-Brévannes, Françoise Lecoufle, le projet de pôle culturel qui devait accueillir une médiathèque et le conservatoire de musique de la ville ne devrait pas voir le jour dans l’immédiat.

La commune, qui tient ce lundi 29 septembre son Conseil municipal (retransmis en direct sur Internet), devrait voter la demande à la communauté d’agglomération Plaine centrale de surseoir à l’exécution du projet dont la construction devait commencer cette année. D’un budget total de 9 millions d’euros pris en charge par la communauté d’agglo, et dont 3 millions d’euros étaient budgétés cette année, ce pôle devait s’installer dans le secteur Pasteur, à l’angle des rues Marius Dantz et de l’avenue Verdun. Il devait accueillir notamment une salle de spectacle à gradins repliables de 200 m2, une médiathèque et des salles de conservatoire réparties sur trois niveaux dont plusieurs pièces insonorisées et semi-enterrées pour les groupes de rock et autre musique amplifiée.

Dans le bulletin municipal de juin, la nouvelle municipalité avait indiqué que ce pôle culturel « n’était pas prioritaire aux yeux des Brévannais, d’autant qu’il implique la destruction d’un des derniers espaces verts du quartier » et de préciser que des discussions étaient en cours « pour réorienter l’apport financier vers des projets plus utiles à la ville et ses habitants. » Pole Culturel Limeil Brevannes interieur mediathequeUne position regrettée par l’opposition dans une tribune publiée par le président du groupe PS Raymond Cathala dès mai 2014 :  » Ce projet est entièrement financé par la Communauté d’agglomération. Se priver de cet outil culturel qui n’augmentera en rien les impôts des Brévannais est une aberration d’autant que cette proposition d’investissement risque bien de ne pas se reproduire si la clause de compétence générale était supprimée dans le cadre de la nouvelle réforme des collectivités territoriales. » Ce lundi 29 septembre officialisera la demande.

Parmi les autres sujets à l’ordre du jour : le déplacement du relais d’assistantes maternelles (Ram) dans le bâtiment Paul Barthez et la création de quatre salles de classes  au sein du  local actuellement occupé par le Ram rue Emile Zola, la création et conception d’un jardin à l’hôpital Emile Roux, la requalification de la rue de Paris, l’extinction de la convention de portage foncier entre le SAF 94, la ville et la SEM ALB… Télécharger l’ordre du jour complet.

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Limeil-Brévannes demande l’expulsion de son bidonville de Roms

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Bidonville Roms LimeilAlors qu’une cinquantaine de Roms se sont installés dans le quartier des Temps durables de Limeil-Brévannes depuis fin septembre, la maire UMP, Françoise Lecoufle, demande au préfet de procéder à leur expulsion, s’inquiétant de la volonté des riverains de s’organiser entre eux pour effectuer des « rondes de surveillance », 

excédés par les dépôts sauvages de déchets, feux ou raccordements illicites sur les arrivées d’eau des résidences.

« La procédure de démantèlement a été lancée dès le premier jour », indique l’édile, « avec rédaction d’un arrêté de mise en demeure de quitter les lieux, notification de cet arrêté aux occupants et transmission de cet arrêté au Préfet du Val-de-Marne« . L’élue, qui demande au préfet d’intervenir, annonce avoir renforcé les patrouilles de la police municipale dans le quartier.

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Départementales Villeneuve-St-Georges: l’UMP investit une élue de la liste DVD-FN

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Krystell NiasmeAlors que l’UMP Val de Marne discutait ce mercredi 10 décembre au soir des candidatures aux élections départementales de 2015, l’investiture à Villeneuve-Saint-Georges Choisy-le-Roi de Kristell Niasme, numéro deux sur la liste du candidat divers droite Philippe Gaudin, allié au Front National Dominique Joly, 3e de liste, au second tour des élections municipales de 2014, a suscité le débat et certaines réticences.

A commencer par celle de son binôme homme, Tonino Panetta, ex-candidat aux municipales de Choisy, qui a refusé catégoriquement l’investiture dans ces conditions. « Il est hors de question que je fricote de près ou de loin avec le Front National« , indique le Choisyen.

Pour Kristell Niasme, l’alliance avec le FN aux municipales et les élections départementales sont deux sujets distincts. « Nous n’avons rien à voir avec le FN et je n’ai jamais été au FN. NousKrystell Niasme représentons la droite départementale. Le FN présentera ses propres candidats. L’alliance avec le FN était opportune aux élections municipales mais c’était à un instant T. Nous ne siégeons pas du reste dans le même groupe au Conseil municipal. Aux élections départementales, c’est nous qui affronterons le FN au second tour. Et si tel n’était pas le cas, nous n’appellerons pas à voter pour le FN. Aujourd’hui, l’UMP m’a donné son investiture pour continuer le travail de fond que nous avons engagé sur le terrain. Le parti a compris malgré tout les choix que nous avons faits aux municipales« , défend Kristell Niasme.

Christian Cambon« Krystell Niasme a compris que la solution du Front National ne débouchait sur rien. Elle a rejoint l’UMP et est prête à se lancer dans ce combat des élections. Si nous considérons que les gens qui ont voté FN sont des renégats pour toujours, nous finirons par avoir 60% de vote FN aux élections. Nous ne pouvons pas fermer la porte aux personnes qui souhaitent rejoindre notre parti républicain. Le vrai problème de Villeneuve-Saint-Georges est la désespérance de la population. Lors de ce scrutin, nous mènerons un combat emblématique à la fois contre le FN et contre la gauche« , défend pour sa part Christian Cambon, président de l’UMP Val de Marne, rappelant au passage que les fusions sont interdites aux élections départementales.

Metin Yavuz et Françoise Lecoufle à Villeneuve-Limeil

Concernant le canton de Villeneuve-Saint-Georges Limeil-Brévannes, le binôme devrait être composé de Françoise Lecoufle, élue maire UMP de Limeil-Brévannes en mars, et de Metin Yavuz, ex-candidat sans étiquette (ex PS) soutenu par l’UMP et l’UDI aux municipales 2014 à Valenton (qui a réalisé près de 43% contre la PCF Françoise Baud). Condamné à l’inéligibilité pour son mandat municipal (ce qui ne l’empêche pas de se présenter à un autre scrutin) pour n’avoir pas rendu ses comptes de campagne, ce qu’il conteste, il a fait appel au Conseil d’Etat. Cet appel a suspendu son inéligibilité municipale en l’attente de la décision du Conseil d’Etat. L’investiture ne serait toutefois pas arrêtée entre Metin Yavuz, Eric Colson, ex-allié de Philippe Gaudin qui avait claqué la porte au moment de l’alliance avec le FN et Emmanuelly Gougougnan, également sur la liste de second tour DVD-FN à Villeneuve-Saint-Georges en 11e position.

Dans le cadre des accords départementaux, l’UMP doit désormais discuter avec l’UDI de ses investitures dans le cadre d’une réunion prévue lundi matin, avant de les valider définitivement.

A gauche, rien n’est acté pour l’instant concernant les alliances éventuelles non plus que les possibles candidatures en solo.

Recours au Conseil d’Etat contre les municipales

A noter également, concernant la situation politique à Villeneuve-Saint-Georges, que  Philippe Gaudin (DVD) et Dominique Joly (FN) alliés au second tour, ont déposé un recours au Conseil d’Etat vendredi 28 novembre pour contester la décision du Tribunal administratif de valider l’élection municipale.

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Voeux de Françoise Lecoufle à Limeil-Brévannes

Départementales: liste des candidats UMP-UDI-Modem du Val de Marne

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bulle origami : départementales marianne 2015Les présidents respectifs de l’UMP, l’UDI et le Modem Val de Marne ont dévoilé ce 19 janvier leurs candidats en commun aux élections départementales des 22 et 29 mars 2015.

Un accord définitif a été trouvé entre les 3 partis dans 20 cantons sur 25. Dans 2 cantons, Charenton – Saint-Maurice – Joinville et Le Perreux- Nogent, des binômes UMP ont été nommés mais le centre n’a pas encore confirmé s’il faisait cause commune ou non. Dans 3 cantons, les partis sont sur la même ligne mais les candidats ne sont pas encore arrêtés (Choisy-le-Roi Villeneuve-Saint-Georges), ou seulement partiellement  (Orly Ablon Villeneuve le Roi). Dans plus de la moitié des cantons, le binôme de candidats titulaires se partage entre l’UMP et le centre droit.

A lire aussi :
liste des candidats PS
liste des candidats EELV
liste des candidats FN
Liste des candidats PCF

Ci-dessous la liste des candidats, article plus détaillé sur le lancement de campagne de l’UMP-UDI-Modem  venir.

Numéro Canton Homme Femme
1 Alfortville François Tanguy (Modem et UDI) Déborah Zabounian (UMP)
2 Boissy-Saint-Léger Pierre-Jean Gravelle (UMP) Karine Bastier (UMP)
3 Cachan Sébastien Trouillas (UMP) Sarah Ganne-Lévy (Modem)
4 Champigny-sur-Marne 1 Laurent Jeanne (UMP) Aurore Thiroux (DVD)
5 Champigny-sur-Marne 2 Jean-Pierre Barnaud (Modem) Isilda Silva de Amorin (UMP)
6 Charenton-le-Pont (Soutien du centre à confirmer) Hervé Gicquel (UMP)  Chantal Durand (UMP)
7 Choisy-le-Roi (Réservé) Réservé Réservé
8 Créteil 1 Sylvain Thézard (UMP) Sylvie Smaniotto (UDI)
9 Créteil 2 Thierry Hebbrecht (UMP) Ange Cadot (DVD)
10 L’Haÿ-les-Roses Vincent Jeanbrun (UMP) Frédérique Pradier (UDI)
11 Ivry-sur-Seine Valentin Aubry (UDI) Julie Lefèvre (UMP)
12 Le Kremlin-Bicêtre Benoît Crespin (UMP) Nadia Chiboub (Modem)
13 Maisons Alfort Olivier Capitanio (UMP) Marie-France Parrain (UMP)
14 Orly Didier Gonzales (UMP) Candidate à confirmer
15 Le Perreux-sur-Marne (Soutien du centre à confirmer) Paul Bazin (UMP) Déborah Münzer (UMP)
16 Saint-Maur-des-Fossés 1 Jean-François Le Helloco (UMP) Laurence Coulon (UMP)
17 Saint-Maur-des-Fossés 2 Jean-Daniel Amsler (UMP) Marie-Christine Ségui (UMP)
18 Thiais Richard Dell’Agnola (UMP) Patricia Korchef-Lambert (UMP)
19 Villejuif Thierry Jesset (UDI) Annie Ducellier (UDI)
20 Villeneuve-Saint-Georges Metin Yavuz (Centre) Françoise Lecoufle (UMP)
21 Villiers-sur-Marne Emmanuel Gilles de la Londe (UMP) Sabine Patoux (Modem)
22 Vincennes 1 Julien Weil (UMP) Dominique Le Bideau (Centre)
23 Fontenay Gildas Lecoq (UDI) Brigitte Chambre-Martin (UMP)
24 Vitry-sur-Seine 1 Alain Afflatet (UMP) Anne-Laure Paulet (DVD)
25 Vitry-sur-Seine 2 Emmanuel Njoh (UDI) Bernadette Hérault (UMP)

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La droite s’unit pour conquérir le Val de Marne

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Conf presse UMP UDI ModemAlors que la droite est donnée favorite en Seine-et-Marne et en Essonne aux élections départementales de mars 2015, le Val-de-Marne est sur la tangente avec une dizaine de cantons assurés de part et d’autre et cinq où le score sera sans doute très serré comme il l’a été aux municipales.

Pour la droite, le prise du Val de Marne serait une étape de plus dans le grand chelem vers les élections régionales de décembre 2015, après la première vague bleue de mars 2014. Pour le département, le dernier de majorité PCF avec l’Allier, ce serait un séisme, alors qu’il a toujours été communiste en dehors du mandat de Roland Nungesser de 1970 à 1976.

C’est dans ce contexte qu’UMP, UDI et Modem ont conclu de manière inédite un accord au niveau départemental. Ce lundi 19 janvier, les trois partis ont annoncé 20 premiers binômes portés en commun. Voir la liste complète par canton.

Génération municipales 2014

Une quarantaine de candidats renouvelés dont la moyenne d’âge est de 47 ans. Seuls 6 des 17 conseillers généraux soutenus par ces trois partis aux dernières élections sont à nouveau en lice à Maisons-Alfort avec Marie-France Parrain et Olivier Capitanio, tous deux UMP, à Champigny-Chennevières avec Jean-Pierre Barnaud (Modem), à Vincennes avec Dominique Le Bideau, centriste sans étiquette et dans le plateau briard et haut Val de Marne avec Pierre-Jean Gravelle et Jean-Daniel Amsler. Les têtes de listes des municipales 2014 fournissent le gros du bataillon avec des nouveaux maires comme Vincent Jeanbrun (L’Haÿ), Françoise Lecoufle (Limeil), Marie-Christine Ségui (Ormesson), des maires ré-élus qui ont perdu leur siège de député en 2012 comme Didier Gonzales (Villeneuve-le-Roi) ou Richard Dell’Agnola (Thiais), ou encore des non-élus sur des terres de gauche comme le binôme Gildas Lecoq – Brigitte Chambre-Martin à Fontenay, Benoit Crespin à Gentilly, Metin Yavuz à Valenton ou encore Alain Afflatet à Vitry. Dans plusieurs cantons encore, ce-ne-sont pas les maires élus qui se présentent mais des membres de leur équipe comme à Saint-Maur avec les deux adjoints Jean-François Le Helloco et Laurence Coulon, Karine Bastier à la Queue en Brie, Sabine Patoux au Plessis, Emmanuel Gilles de la Londe à Bry…

Les points qui coincent encore

Dans deux cantons, Charenton-Joinville-Saint-Maurice et Nogent-Le Perreux, l’UMP a désigné des binômes mais l’UDI ne s’est pas encore prononcé sur le soutien ou non à cette candidature. Des désaccords subsistent sur les noms des suppléants à Charenton, qui font suite à des dissensions lors des municipales. L’accord n’est pas non plus acté sur Nogent Le Perreux. A Villeneuve-Saint-Georges-Choisy, où l’UMP avait investi la seconde de liste du divers droite Philippe Gaudin qui avait fait alliance avec le FN au second tour des municipales de Villeneuve, la situation a évolué et UMP, UDI et Modem sont en phase pour ne pas mettre en lice de candidat marqué par l’alliance avec le FN, mais les noms ne sont pas encore sortis du chapeau. Restent également deux candidates à désigner à Cachan et Orly.

A noter aussi que l’union officielle des partis n’empêchera pas ici ou là de possibles candidatures dissidentes, comme à Villejuif où Jean-François Harel (UDI) s’interroge.

Gauche divisée,  Front National conquérant, abstentions…

En plein élan depuis les dernières municipales, la droite et le centre droit peuvent aussi compter dans le département sur les grandes difficultés de la gauche à se rassembler, déchirée notamment entre ceux qui refusent toute union avec les alliés de la politique gouvernementale et les autres, et pas tout à fait remise non plus des alliances passées entre socialistes et écologistes aux précédentes cantonales, toujours pas digérées par les communistes. Alors que de beaux scores semblent aussi promis au Front National, un sondage Odoxa de décembre le plaçant en tête des intentions de vote des Français, et que le parti a raflé 24 sièges  de conseiller d’opposition dans 11 villes du département, les représentants de la droite val de marnaise ne semblent pas non plus inquiets, comptant justement sur leur alliance pour passer systématiquement devant, et sur la règle des 12,5% d’inscrits obligatoires pour se maintenir au second tour (sauf si l’on est en 1er ou 2e bien-sûr), pour éliminer le parti de Marine Le Pen dès le premier tour. La règle des 12,5% d’inscrits est effet difficile à atteindre compte-tenu des taux d’abstention importants. Pour obtenir 12,5% des vote de l’ensemble des inscrits, avec un taux de 40% d’abstention par C Cambonexemple, il faut obtenir au moins 20% des suffrages. « Nous disons aux candidats, faîtes votre campagne sur vos valeurs, votre programme, creusez votre sillon, c’est le plus important. Le FN est faiblement implanté dans le Val de Marne« , indique Christian Cambon, président de l’UMP 94. « Les candidats FN aux cantonales ont rarement O Capitanioun ancrage local, ce-sont des mercenaires avec une étiquette« , ajoute Olivier Capitanio, président du groupe UMP au sein du Conseil général. « Je pense qu’aucun canton n’est gagnable par le FN D Doussetdans le département », conclut Didier Dousset, président du Modem 94. Concernant l’abstention, les représentants de la droite estiment que le caractère national de l’élection, d’habitude renouvelée pour moitié seulement tous les trois ans, va la rendre plus visible que les cantonales précédentes, « comme une petite législative ». Et puis, ce sera le premier scrutin après les attentats de janvier qui ont suscité une immense émotion dans le pays et donné lieu à une forte mobilisation citoyenne qui se retrouvera peut-être dans la participation, se questionnent les responsables départementaux.

Programme : finances, non-critérisation, rayonnement métropolitain

En termes de programme, la droite val de marnaise met en avant la gestion financière, la politique du logement. « Il faut arrêter de construire du logement social dans les villes qui sont au-delà de 40%-50% et réorienter les crédits vers la réhabilitation« , insiste Olivier Capitanio. L’opposition dénonce également un clientélisme dans la distribution des subventions aux associations, estimant que « plus de la moitié est versée dans des villes de gauche et seulement 20% dans les villes de droite, le reste étant affecté hors du département », précise le président de l’opposition UMP au Conseil général. Dans le collimateur de la droite départementale également : la politique de « critérisation » qui consiste en une corrélation entre la participation financière du Conseil général aux constructions de logements sociaux et de crèches et la proportion réelle de logements sociaux des villes. Pour la majorité du Conseil général, il s’agit d’encourager les villes qui font le plus d’efforts sociaux, pour l’opposition, cela renforce les inégalités. Un désaccord qui se retrouve au coeur des échanges chaque année lors de la préparation du budget.

« Nous souhaitons aussi développer une ambition plus forte pour l’Est parisien. Le Val de Marne n’a pas trouvé sa place dans la métropole » , insiste Christian Cambon. « Le L Lafondépartement n’est pas audible dans la métropole, il est isolé et n’a pas de projet. La Seine-Saint-Denis qui partait avec le même handicap a davantage avancé« , souligne pour sa part Laurent Lafon, président de l’UDI 94.

 

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Limeil-Brévannes ville record des ouvertures de classes

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Dix nouvelles classes, 4 en maternelle et 6 en primaire, ont ouvert en cette rentrée 2015 à Limeil-Brévannes, après 8 l’an dernier, alors que la ville ne compte que 21 000 habitants, un record dans le département.

« Alors que le Val-de-Marne connaît une croissance de 1% de son nombre d’élèves, la ville de Limeil-Brévannes observe quant à elle une hausse de 10% de ses enfants scolarisés, de 3181 à 3481 », évalue la maire conseillère départementale LR de la ville, Françoise Lecoufle. « Et la tendance va se poursuivre. Nous avons actuellement 100 élèves de plus en maternelle qu’en primaire », pointe l’élue. « Cette tendance s’explique à la fois par la jeunesse de notre population et le nombre important de nouveaux habitants notamment avec le quartier des Temps durables où aucune école n’a été anticipée. Or, pour bien faire, une école doit se construire avant, ou au pire, en même temps que les nouveaux logements. C’est du bon sens », dénonce l’édile élue en 2014.

En attendant la construction d’une école de 12 classes qui devrait ouvrir en septembre 2016 dans le quartier des Temps durables, 10 classes ont été ouvertes sur 5 sites cet été, à raison de 4 classes de maternelle dans l’ancien RAM (Relais d’assistantes maternelles), 2 classes de primaire à Martine Soulié, 1 à Pasteur, 1 à Anatole France en transformant un logement et encore 2 à Picasso en cloisonnant une salle informatique. « Les travaux ont été effectués durant l’été moyennant 422 000 euros« , précise Françoise Lecoufle.

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Crise de gouvernance à la régie Services plus de Limeil-Brévannes

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Un centre commercial reposant sur l’économie sociale et solidaire pour remplacer les commerces presque tous fermés d’une galerie marchande vieillissante, redonnant vie au quartier Saint-Martin de Limeil-Brévannes, avec une épicerie solidaire, une laverie travaillant pour le compte de collectivités locales, des fripes joliment organisées en magasin de vêtement classique… Il y a trois ans, le centre Eco-Sol exploité par la régie de quartier Services Plus avait été inauguré dans la liesse. Aujourd’hui, il est menacé en raison d’une crise de gouvernance.

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En mars 2015, le commissaire aux comptes de la Régie a lancé une procédure d’alerte sur le risque de non continuité d’exploitation de la régie du fait de la baisse de chiffre d’affaires due à la perte des marchés au niveau du ménage, de la laverie et des espaces verts. En 2015, la régie a en effet perdu les marchés des villes de Palaiseau, Créteil, Pré-Saint-Gervais,  Limeil-Brévannes et du Conseil départemental du Val-de-Marne, représentant un montant de 257 000 €, soit 50% du CA prévisionnel de 2015. En outre, la Direccte (Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l’emploi) a refusé de conventionner  l’épicerie solidaire. Suite à la procédure d’alerte du commissaire aux comptes, ont suivi plusieurs licenciements dont celui du directeur de la structure.

Ce mercredi 9 septembre, le représentant de la majorité municipale de la ville a donné sa démission du Conseil d’administration, indiquant refuser de cautionner « une gouvernance empreinte d’amateurisme ».

Limeil-centre-commercial-solidaire-septembre-2015-logo

 

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Listes Val-de-Marne aux régionales : LR craint un « parachutage »

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Qui sera treizième de la liste LR-UDI-Modem en Val-de-Marne aux régionales de décembre 2015 ? A première vue, l’enjeu peut paraître limité alors que les soutiens de Valérie Pécresse tablent plutôt sur douze sièges en cas de victoire en raison du rapport de force politique dans le département.

En cas de confortable victoire, la treizième position pourrait néanmoins être éligible. Et elle fait donc l’objet de négociations depuis plusieurs mois pour savoir si elle doit revenir à un candidat centriste ou LR, alors que 4 des 12 premières places ont déjà été négociées pour les centristes, dont la tête de liste départementale Laurent Lafon (maire UDI de Vincennes et conseiller régional sortant),  Didier Dousset, président du Modem et maire du Plessis-Trévise, également dans la première partie du peloton et encore Nathalie Delepaule, 1ère maire-adjointe de Bry-sur-Marne.

Les candidats LR pressentis aux élections régionales dans le Val-de-Marne

La semaine dernière, la négociation a abouti pour que la 13e place, charnière en cas de victoire de la droite, revienne à LR, donnant 9 places potentiellement éligibles au parti de Nicolas Sarkozy. Pour les occuper,  les étoiles montantes ou élus confirmés ne manquent pas à l’appel, entre les maires qui ont gagné des villes à la gauche en mars 2014, les élus d’opposition qui n’ont pas démérité et encore ceux qui ont occupé des mandats de parlementaires ou de conseiller régional. Et au niveau du Val-de-Marne, les 9 noms étaient déjà prévus, à commencer par  Marie-Carole Ciuntu, maire de Sucy-en-Brie et conseillère régionale sortante, déjà été nommée chef de file et seconde de liste. Dans le désordre, sont aussi prévus Vincent Jeanbrun, qui a emporté successivement la mairie de L’Haÿ-les-Roses puis le canton de L’Haÿ-Fresnes, Christel Royer, première maire adjointe du Perreux-sur-Marne, Françoise Lecoufle qui a gagné la ville de Limeil-Brévannes en 2014 puis le canton de Limeil-Valenton-Villeneuve-St-Georges,  Jasmine Camara, maire-adjointe à Saint-Maur-des-Fossés et collaboratrice parlementaire de Sylvain Berrios, Thierry Hebbrecht, dans l’opposition contre le député-maire PS de Créteil Laurent Cathala depuis des années, Laurent Jeanne, conseiller d’opposition à Champigny-sur-Marne, qui a frôlé la victoire en 2014, Didier Gonzales, maire de Villeneuve-le-Roi et ancien député, et encore Olivier Dosne,  maire de Joinville-le-Pont et ancien conseiller régional puis député (suite à  la nomination au gouvernement de Marie-Anne Montchamp, dont il était suppléant).

Eric SchahlDe quoi remplir exactement les 13 premières places entre centristes et LR du Val-de-Marne. Sauf que, en même temps que se débloquait la 13ème  place en faveur d’un LR, c’est un autre nom, et pas n’importe lequel qui a été proposé par le « sommet » comme le regrette des élus du département, en la personne d’Eric Schahl, un ancien Saint-Maurien (voir article détaillé). Un nom qui circule depuis près de 6 mois et qui ne fait pas l’unanimité. Dès cette annonce, les parlementaires du Val-de-Marne ont cosigné une déclaration pour rappeler leur attachement à défendre la victoire de Valérie Pécresse mais s’opposer à tout parachutage. « Les Républicains du Val-de-Marne sont totalement mobilisés pour contribuer à la victoire de Valérie Pécresse, lors des élections régionales de  décembre  prochain. Pour y parvenir, nos candidats seront des femmes et des hommes qui habitent et militent dans notre département et se sont engagés de longue date au service de leurs concitoyens. C’est la volonté de Valérie Pécresse. Alors que les socialistes aux abois ont dû se résoudre à recupérer Julien Dray, expulsé par son propre parti dans l’Essonne, les Républicains  du Val-de-Marne se  doivent d’être exemplaires. Nos victoires de 2014 aux municipales  et  2015 aux Départementales  sont le résultat d’un enracinement profond et d’un long travail militant de terrain. Toute candidature extérieure qui viendrait rechercher un avenir dans ce département est vouée à l’échec. Nicolas Sarkozy, notre président, attentif au respect des militants, ne l’acceptera pas », préviennent les élus. « C’est une tempête dans un verre d’eau pour une treizième place qui ne sera sans doute pas éligible. Ce n’est pas comparable avec Julien Dray en tête de liste au PS. Ce n’est pas une bonne publicité pour notre camp que de s’entre-déchirer pour cela« , note de son côté un membre du parti, qui reconnaît être plutôt en minorité sur cette position.

A lire aussi : Eric Schahl, le Saint-Maurien qui revient ?

C’est jeudi 29 octobre que se tiendra la commission nationale d’investiture qui devrait procéder à un arbitrage.

 

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Régionales Ile-de-France : la droite du Val-de-Marne gonflée à bloc

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En campagne depuis le printemps 2015, enchaînant tractage et porte-à-porte, la droite val-de-marnaise, qui a bouclé sa liste d’union LR-UDI-Modem il y a quelques jours, aborde la dernière étape avec appétit, convaincue que son département fera pencher la balance.

Objectif : 12 ou 13 conseillers élus en cas de victoire. Et en cas de défaite? « La question ne se posera pas« , répond Laurent Lafon, tête de liste départementale et maire-conseiller régional UDI de Vincennes. « Dans ce dernier sprint, notre objectif est d’abord de mobiliser notre électorat. Cela sera déterminant alors que la date qui a été choisie est propice à l’abstention. Pour cela, nous faisons de la pédagogie, nous expliquons les enjeux. Tout le monde se sent concerné dès que l’on aborde la question des transports« , reprend la tête de liste. « Nous sommes conseillers sortants et pouvons témoigner directement du gâchis actuel. Sur les transports, le logement, le développement économique, la région n’est pas au rendez-vous, enchaîne Marie-Carole Ciuntu, maire LR de Sucy-en-Brie et seconde de liste, seule conseillère régionale sortante de la liste 2015 avec Laurent Lafon. Nous avons un RER A qui ne fonctionne pas. On nous impose de nouveaux logements à l’Est alors que l’urgence est de rééquilibrer le taux d’emploi…  Bien que n’ayant pas gagné en 2010, Valérie Pécresse est restée durant toute la mandature pour se consacrer au Conseil régional. Nous avons des propositions et solutions chiffrées et sommes prêts« , poursuit la maire de Sucy.

Voir la liste complète LR-UDI-Modem dans le Val-de-Marne

Ancrer la nouvelle génération d’élus locaux du département

Côté liste, on ne change pas une équipe qui gagne. « Après avoir réalisé des unions réussies au municipales 2014, qui nous ont permis de gagner des villes comme L’Haÿ-les-Roses, Limeil-Brévannes, La Queue-en-Brie…et presque de gagner les départementales 2015 s’il n’y avait pas eu de charcutage électoral, nous poursuivons notre stratégie d’union », insiste Laurent Lafon. « Dans cette reconquête de la région, le Modem n’imaginait pas jouer en solo. L’union allait de soi« , motive Didier Dousset, maire du Plessis-Trévise et président du Modem 94.

« C’est une liste sincère d’élus de terrain, sans parachutage« , pointe Vincent Jeanbrun, maire-conseiller départemental LR de L’Haÿ-les-Roses. Pas question de placer des inconnus. Toute la liste s’appuie sur des maires, adjoints au maire et quelques conseillers d’opposition en phase de conquête. Alors que l’élection régionale n’est pas la plus identifiable qui soit pour les citoyens, les trois partis alliés ont misé sur des visages familiers, que les habitent reconnaissent sur les affiches des abribus ou croisent au marché le weekend. « Ce-sont nous maires, que les gens interpellent directement », insiste Vincent Jeanbrun. Un moyen aussi de renforcer le poids politique de nouveaux élus qui ont gagné des villes historiquement de gauche, comme Vincent Jeanbrun, Franck Le Bohellec ou Françoise Lecoufle, et de les ancrer au-delà de leur seule ville. « Nous avons gagné une ville qui était à gauche depuis 18 ans et intégré une communauté d’agglomération socialiste où nous sommes mal venus, nous avons gagné un canton mais siégeons dans une assemblée départementale de gauche, nous sommes englués et avons besoin de nous inscrire dans une région à droite », exprime Françoise Lecoufle.  Et pour ceux qui n’ont pas gagné mais ont fait de jolis scores, comme le conseiller d’opposition Laurent Jeanne à Champigny-sur-Marne, en position charnière en cas de victoire (13e place), le statut de conseiller régional apporterait en visibilité en vue des prochaines municipales de 2020.

« Cumulards » versus « apparatchiks » et « parachutés« 

Cette stratégie ayant déjà été appliquée lors des départementales 2015, en partie avec succès, deux maires et conseillers départementaux vont devoir choisir entre ville, région et département s’ils sont élus, Françoise Lecoufle et Vincent Jeanbrun, qui ont déjà tranché en faveur du Conseil régional et de leur mairie. Dans le cas de l’édile de Limeil-Brévannes, en 14e position, la Fernand Bersonprobabilité est faible dans l’immédiat. Vincent Jeanbrun est en revanche sûr d’être élu même en cas de défaite et devrait donc laisser sa place dans l’assemblée départementale à Fernand Berson (photo), son premier adjoint à L’Haÿ. Aux adversaires qui dénoncent une liste de « cumulards« , les leaders de la droite val-de-marnaise défendent au contraire le principe du cumul des mandats. « Mon action en tant qu’ancien vice-président de la région a été nourrie par mon expérience de maire. Il est sain de ne pas se contenter de l’or des palais du Luxembourg ou de l’Assemblée nationale et d’être sur le terrain« ,  réagit Christian Cambon, sénateur-maire de Saint-Maurice et président de LR 94. « Notre liste est composée d’élus de proximité tandis que nos opposants ont des apparatchiks comme le premier fédéral PS qui n’a jamais été élu, ou des parachutés comme Julien Dray qui n’a plus de place en Essonne », tacle encore Michel Herbillon, député-maire LR de Maisons-Alfort.

Seul non élu de la liste, Alain Madar, chirurgien dentiste à Créteil et président du CCEJ (Centre du Charentonneau d’étude juive), clôt symboliquement la liste en 25e place. « Je suis très heureux que l’on m’ait proposé de faire partie de la liste. C’est un signe envoyé à la communauté juive locale qui a été très touchée par les attentats de janvier. 80% de nos fidèles vont faire leurs courses à l’hyper cacher de la Porte de Vincennes et l’un d’entre eux faisait partie des otages qui s’étaient réfugiés dans la chambre froide », témoigne le dernier de liste.

Transports, emploi, logements

Les thèmes de campagne : transports, emploi, logement. Côté transports, les candidats  promettent de doper les réalisations en allant chercher de l’argent via les fonds structurels européens. Concernant le logement, la droite veut refuser de subventionner les logements sociaux dans les villes qui en ont déjà au-delà du seuil de la loi SRU. « La région veut continuer à densifier les HLM, nous voulons rééquilibrer avec du beau », défend Laurent Jeanne. Olivier Dosne, maire LR de Joinville, candidat en 5e position, insiste pour sa part sur la question de la santé et des maisons de santé alors que va croissant la pénurie de médecins.

Dans cette dernière ligne droite, la droite départementale accueillera sa championne lundi 9 novembre à l’occasion d’un meeting à Maisons-Alfort. « Et avant la soirée, elle viendra visiter un programme de logements sociaux tout neuf réalisé dans notre ville de droite!« , pointe Michel Herbillon.

 

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Pollution des sols : Limeil-Brévannes annule son projet d’école aux Temps durables

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Après avoir ouvert 10 classes à la rentrée 2015, record du Val-de-Marne et 8 classes à la rentrée 2014, Limeil-Brévannes, qui ne compte pourtant que 21 000 habitants, devra en ouvrir 7 nouvelles à la rentrée 2015 et même 17 d’ici 4 ans!  Autant dire qu’en ville, la question fait partie des dossiers prioritaires.

C’est dans ce contexte que la commune avait acheté un terrain à proximité du nouvel éco-quartier Les Temps durables pour construire une école à côté des habitants. « Afin de garantir une ouverture dès septembre 2016, les services municipaux, rassurés par les projets de construction d’habitations de l’ancien maire prévus sur terrain, ont lancé simultanément le concours d’architectes et les études de la qualité des sols », indique Françoise Lecoufle. Un projet qui était évalué, selon les dernières estimations, à 9 millions d’euros, précise l’élue. Les conclusions qui viennent de tomber viennent de tout mettre par terre. Verdict : un sol hyper pollué, impossible de construire une école dessus. Le site correspond à d’anciens terrains de l’AP-HP.

« Nous sommes pressés car nous devons ouvrir beaucoup de classes et nous essayons de faire en sorte qu’elles soient à proximité des habitants. Le problème est que l’école la plus facile à agrandir est Picasso mais c’est aux Temps durables et à côté de la mairie qu’il y a beaucoup de nouveaux logements. D’ores et déjà, nous sommes obligés de conduire en bus des enfants du quartier de la mairie vers Picasso. Nous allons reconstruire une école mais avons besoin de quelques années, or, nous devons aussi parer au plus pressé pour accueillir les enfants à la rentrée », s’inquiète l’élue, qui doit rencontrer le préfet la semaine prochaine pour évoquer le problème.

A lire aussi : Limeil : ville record des ouvertures de classes

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Lancement du Comité Juppé Val-de-Marne

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Voilà une Comité Juppé de plus dans le Val-de-Marne. A la différence de la quinzaine de comités locaux, ce comité 94 lancé ce  jeudi 10 mars par Olivier Dosne, maire conseiller régional LR de Joinville-le-Pont, 

Françoise Lecoufle, maire conseillère départementale de Limeil-Brévannes, Jacques JP Martin, maire LR de Nogent-sur-Marne et Metin Yavuz, conseiller départemental apparenté LR de Villeneuve-Saint-Georges, aura vocation à rayonner au niveau du département, pour porter la candidature du maire de Bordeaux aux primaires de la droite les 20 et 27 novembre 2016.

« Ce comité a pour mission première de faire connaître et partager le projet d’Alain Juppé aux Val-de- Marnais, au moyen de rencontres et d’événements. Ce comité est également le pivot de la préparation des primaires de novembre prochain« , indiquent ses élus fondateurs. Objectif : fédérer les initiatives sans prétention d’instaurer une hiérarchie entre le département et les comités locaux. La prochaine étape sera la création d’une page Facebook avant l’organisation de réunions publiques.

A lire aussi :

Déjà une quinzaine de comités de soutien Alain Juppé dans le Val-de-Marne

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A Limeil-Brévannes, on finit de pousser les murs pour accueillir les élèves

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Deux nouvelles classes à Langevin, une à Piard, trois à Pasteur, deux à Marquez, et encore deux demi-classes à Pasteur pour le dispositif Plus de maîtres que classe… A Limeil-Brévannes, on n’en finit pas de pousser les murs pour accueillir les nouveaux élèves. 

« Depuis quinze jours, nous n’arrêtons pas d’avoir des nouvelles inscriptions tous les jours. Il faudra certainement ouvrir de nouvelles classes durant l’année« , indique Françoise Lecoufle, maire LR de la ville. « Il y a notamment un afflux de petits et nous avons dû transformer une classe en dortoir à la dernière minute. Les préparatifs devraient s’achever cette nuit« , poursuit l’élue en cette veille de rentrée.  Parmi les travaux d’été, la ville a également procédé à l’insonorisation du réfectoire du groupe Pasteur, où une cinquantaine de classes se relaient pour déjeuner chaque jour.

L’an dernier, la ville avait déjà ouvert 10 classes, le record du Val-de-Marne, et encore 8 l’année d’avant.

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